Paroles de la chanson Oubliettes par Hugo TSR
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Paroles de la chanson Oubliettes par Hugo TSR
On voit une trainée d'alcool qui part d'un banc dans une gare de bus
La fierté dure qu'un temps, ça fait un bail qu'on la regarde plus
Son sort elle le mérite, y a pas d'fumée sans feu
"Quand on veut on peut", ouais c'est c'que disent tous les chanceux
Roi de la basse cour, ceux qui donnent rien, qui tournent la tête comme des putains
Pourtant ils courent, pour payer le café de leur n+1
L'air déçu, regard perdu, c'est l'ouverture faut qu'elle dégage
Que veut-tu ? Elle a pas d'toit, donc son sommeil est illégal
La fierté dure qu'un temps, ça fait un bail qu'on la regarde plus
Son sort elle le mérite, y a pas d'fumée sans feu
"Quand on veut on peut", ouais c'est c'que disent tous les chanceux
Roi de la basse cour, ceux qui donnent rien, qui tournent la tête comme des putains
Pourtant ils courent, pour payer le café de leur n+1
L'air déçu, regard perdu, c'est l'ouverture faut qu'elle dégage
Que veut-tu ? Elle a pas d'toit, donc son sommeil est illégal
Elle a pas l'droit d'être là, ni nulle part d'ailleurs
Une voix d'râleuse, ses coups d'chance sont en r'tard, elle s'écoute sans qu'il parte à l'heure
Y a plus d'un tour dans son panier, mais elle a peur quand elle s'isole
Elle doit marcher accompagnée, la rue est dure pour une fille seule
À force de naviguer, fatiguée, les traits tout tirés
Y a que des faux sourires, le décor tourne comme un tourniquet
À force de naviguer, elle a prié, croit qu'elle a tout pigé
C'est l'histoire d'une fille qui, dans sa vie, s'est oubliée
Oubliettes, ceux qui plongent entièrement
Une voix d'râleuse, ses coups d'chance sont en r'tard, elle s'écoute sans qu'il parte à l'heure
Y a plus d'un tour dans son panier, mais elle a peur quand elle s'isole
Elle doit marcher accompagnée, la rue est dure pour une fille seule
À force de naviguer, fatiguée, les traits tout tirés
Y a que des faux sourires, le décor tourne comme un tourniquet
À force de naviguer, elle a prié, croit qu'elle a tout pigé
C'est l'histoire d'une fille qui, dans sa vie, s'est oubliée
Oubliettes, ceux qui plongent entièrement
Oubliettes, qu'auront personne à leur enterrement
Âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Oubliettes, sur la photo, ils sont dans l'fond
Oubliettes, c'est les sans-fric, c'est les sans-voix, c'est les sans-noms
Les âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Encore une trainée d'alcool qui part d'un banc dans une gare de bus
Un jeune qui parle tout seul, un flash mis dans la poche du par-dessus
C'est plus la peine, il a pas la tête de l'employé
Âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Oubliettes, sur la photo, ils sont dans l'fond
Oubliettes, c'est les sans-fric, c'est les sans-voix, c'est les sans-noms
Les âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Encore une trainée d'alcool qui part d'un banc dans une gare de bus
Un jeune qui parle tout seul, un flash mis dans la poche du par-dessus
C'est plus la peine, il a pas la tête de l'employé
On veut pas d'lui en soirée, un jeune artiste sans foyer
Il connaitra jamais l'succès, pourtant il est doué
En mal d'aimer, trop éméché, sur les quais d'Seine, il vient s'échouer
Au milieu des fêtards, après l'bonheur : il court, il court
Regard au sol, allez ce soir, il oublie tout
Faut pas lui en vouloir, dans l'couloir des oubliettes
Tous les soirs, obligé d'boire, doit oublier pour roupiller
Il croit qu'avec la violence, bah on l'calculera
Sur les cicatrices, beaucoup trop d'larmes, ça coagule pas
Il vient d'nulle part, et y a personne qui compte sur lui
Il connaitra jamais l'succès, pourtant il est doué
En mal d'aimer, trop éméché, sur les quais d'Seine, il vient s'échouer
Au milieu des fêtards, après l'bonheur : il court, il court
Regard au sol, allez ce soir, il oublie tout
Faut pas lui en vouloir, dans l'couloir des oubliettes
Tous les soirs, obligé d'boire, doit oublier pour roupiller
Il croit qu'avec la violence, bah on l'calculera
Sur les cicatrices, beaucoup trop d'larmes, ça coagule pas
Il vient d'nulle part, et y a personne qui compte sur lui
Il subit d'puis quelques temps, j'crois qu'il fait tout pour qu'on l'surine
Il pense à haute voix
Mais autour y a que des sourds, et quand il part, personne n'est là pour dire "au revoir"
Oubliettes, ceux qui plongent entièrement
Oubliettes, qu'auront personne à leur enterrement
Âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Oubliettes, sur la photo, ils sont dans l'fond
Oubliettes, c'est les sans-fric, c'est les sans-voix, c'est les sans-noms
Les âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Il pense à haute voix
Mais autour y a que des sourds, et quand il part, personne n'est là pour dire "au revoir"
Oubliettes, ceux qui plongent entièrement
Oubliettes, qu'auront personne à leur enterrement
Âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Oubliettes, sur la photo, ils sont dans l'fond
Oubliettes, c'est les sans-fric, c'est les sans-voix, c'est les sans-noms
Les âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Une dernière trainée d'alcool qui part d'un banc dans une gare de bus
Dernière goutte qui s'écoule sur une barbe blanche
La tête tombe en avant, le menton frappe le bus
C'est un air de dégoût dans les visages des gens qui passent devant
Invisible, jusqu'à l'arrivée des forces de l'ordre
Ils v'naient pas pour l'sauver, eux ils v'naient juste pour l'foutre dehors
Aux oubliettes depuis un bail, préfère les gares et les impasses
Un mec sympa, mais son corps attend encore qu'un médecin passe
D'où vient-il ? Que f'sait-il ? Personne le sait, tout l'monde s'en fiche
Ancienne star en dépression, a connu l'strass, les hauts talons
Paradis des maisons d'retraite, lui il a préféré s'enfuir
Bienvenue dans les pays où les darons oublient leur propre daron
Macadam de Paname, depuis la mort de madame
Un monde si négatif qu'être positif veut dire être malade
Oubliettes, loin d'ce quotidien dit standard
Ou d'une ville qui s'en tape, un oublié qui s'en va
Oubliettes, ceux qui plongent entièrement
Oubliettes, qu'auront personne à leur enterrement
Âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Paradis des maisons d'retraite, lui il a préféré s'enfuir
Bienvenue dans les pays où les darons oublient leur propre daron
Macadam de Paname, depuis la mort de madame
Un monde si négatif qu'être positif veut dire être malade
Oubliettes, loin d'ce quotidien dit standard
Ou d'une ville qui s'en tape, un oublié qui s'en va
Oubliettes, ceux qui plongent entièrement
Oubliettes, qu'auront personne à leur enterrement
Âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Oubliettes, sur la photo, ils sont dans l'fond
Oubliettes, c'est les sans-fric, c'est les sans-voix, c'est les sans-noms
Les âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
Oubliettes, c'est les sans-fric, c'est les sans-voix, c'est les sans-noms
Les âmes échouées qui regardent passer les navires
Qu'on traite de fou, qu'ont l'impression d'être sain d'esprit dans un asile
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