Paroles de la chanson Près du coeur les blessures par Hugues Aufray
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Paroles de la chanson Près du coeur les blessures par Hugues Aufray
Un jour ou l'autre sur sa route,
Alors qu'on s'est cru le plus fort.
L'angoisse vient et puis le doute.
On est debout parmi les morts.
Deux fleurs fânées sur une tombe.
On se souvient que l'on aimait.
Près du coeur, les blessures
Ne se ferment jamais.
Là-bas dans son pays de neige.
Les toits des maisons sont penchés.
Sans elle, aujourd'hui, que serais-je ?
L'arbre vivant déraciné.
Vierge au visage de madonne.
Des yeux de fille nous dénonçaient.
Près du coeur, les blessures
Alors qu'on s'est cru le plus fort.
L'angoisse vient et puis le doute.
On est debout parmi les morts.
Deux fleurs fânées sur une tombe.
On se souvient que l'on aimait.
Près du coeur, les blessures
Ne se ferment jamais.
Là-bas dans son pays de neige.
Les toits des maisons sont penchés.
Sans elle, aujourd'hui, que serais-je ?
L'arbre vivant déraciné.
Vierge au visage de madonne.
Des yeux de fille nous dénonçaient.
Près du coeur, les blessures
Ne se ferment jamais.
On dit chez moi que les nomades,
Sur les chemins, s'en vont par deux.
Si ma raison battait chamade,
Que les prisons brûlent mes yeux.
Aurais-je su garder silence
Pour sauver le frère que j'aimais ?
Près du coeur, les blessures
Ne se ferment jamais.
On dit chez moi que les nomades,
Sur les chemins, s'en vont par deux.
Si ma raison battait chamade,
Que les prisons brûlent mes yeux.
Aurais-je su garder silence
Pour sauver le frère que j'aimais ?
Près du coeur, les blessures
Ne se ferment jamais.
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