Paroles de la chanson Modesta par Hum beauté ma chérie
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Paroles de la chanson Modesta par Hum beauté ma chérie
Un miroir trouvé sur le banc de l’école
de tes mots à mes mots, résonne comme un écho
Nos reflets dans nos yeux
j’me rencontre en ton lieu, en mieux
Du temps pour des barrières tombées
On s’regardait par la fissure de nos boucliers fêlés
Attentat sur ma tour de contrôle
Et moi j’ai navigué en zone grise, j’ai étudié les frontières
Et mon désir indécis glisse, j’remets mon manteau de fer
Ton silence te fait reine, souveraine t’as gagné le combat
de tes mots à mes mots, résonne comme un écho
Nos reflets dans nos yeux
j’me rencontre en ton lieu, en mieux
Du temps pour des barrières tombées
On s’regardait par la fissure de nos boucliers fêlés
Attentat sur ma tour de contrôle
Et moi j’ai navigué en zone grise, j’ai étudié les frontières
Et mon désir indécis glisse, j’remets mon manteau de fer
Ton silence te fait reine, souveraine t’as gagné le combat
Mais ton silence qu’il se taise, moi j’en rêve qu’on termine ce combat
Ou l’ego a tué l’alter, a tué cette vie là
Rend-moi cette vie-là
Dans le même wagon de lumière, on était
côte à côte dans un couloir étroit
J’ai des flashs d’été en hiver, en effet
j’tai atteinte, pour être plus près de toi
Liaison viscérale, d’égale à égale
et le vice devient loi
Si je te vois, je bois la mer
Ou je me noie sans qu’tu me vois
Et moi j’ai navigué en zone grise, j’ai étudié les frontières
Et mon désir indécis glisse, j’remets mon manteau de fer
Ou l’ego a tué l’alter, a tué cette vie là
Rend-moi cette vie-là
Dans le même wagon de lumière, on était
côte à côte dans un couloir étroit
J’ai des flashs d’été en hiver, en effet
j’tai atteinte, pour être plus près de toi
Liaison viscérale, d’égale à égale
et le vice devient loi
Si je te vois, je bois la mer
Ou je me noie sans qu’tu me vois
Et moi j’ai navigué en zone grise, j’ai étudié les frontières
Et mon désir indécis glisse, j’remets mon manteau de fer
Ton silence te fait reine, souveraine t’as gagné le combat
Mais ton silence qu’il se taise, moi j’en rêve qu’on termine ce combat
Ou l’ego a tué l’alter, a tué cette vie là
Viens qu’on reparle de cette vie-là
T'as largué les amarres, sans au revoir
Fuis la balance des pouvoirs,
J'te dépossède quel beau revers
Mon coeur à terre te dit au revoir
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