Paroles de la chanson Rêves clandestins par Hum Hum
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Paroles de la chanson Rêves clandestins par Hum Hum
Je connais les adages
Je connais les saisons
Je suis toujours l’otage
Qui ne demande pas pardon
Dans la vieille garnison
C’est le même sabordage
Depuis la nuit des temps
Tu connais ce vieux gage
On en parle souvent
Je suis partie prenante à des rêves clandestins
Mon humeur vagabonde et se pose pour un rien
J’ai le cœur qui abonde et qui épie le tien
J’ai le cœur qui abonde des affects assassins
J’ai l’argent sur la main
Je connais les saisons
Je suis toujours l’otage
Qui ne demande pas pardon
Dans la vieille garnison
C’est le même sabordage
Depuis la nuit des temps
Tu connais ce vieux gage
On en parle souvent
Je suis partie prenante à des rêves clandestins
Mon humeur vagabonde et se pose pour un rien
J’ai le cœur qui abonde et qui épie le tien
J’ai le cœur qui abonde des affects assassins
J’ai l’argent sur la main
Et le cœur dans la poche
Je ne le sors qu’en cas majeurs
Car il pleure comme un gosse
J’ai le nerf décoché
Et le verbe qui cabote
De celui des apôtres
Je suis toi qui radote
Il y a dans ma manne toutes les vagues du passé
Quand je vais à ma poche
Elles me scrutent terrassées
Je suis tant leur ennemi que l’issue héroïque
Et si je le pouvais je leur ferais la nique
Je suis faite comme le monde pour m’éteindre demain.
Ci git ci bas l’accalmie des prélats quotidiens
Je ne le sors qu’en cas majeurs
Car il pleure comme un gosse
J’ai le nerf décoché
Et le verbe qui cabote
De celui des apôtres
Je suis toi qui radote
Il y a dans ma manne toutes les vagues du passé
Quand je vais à ma poche
Elles me scrutent terrassées
Je suis tant leur ennemi que l’issue héroïque
Et si je le pouvais je leur ferais la nique
Je suis faite comme le monde pour m’éteindre demain.
Ci git ci bas l’accalmie des prélats quotidiens
Je referai la ronde, je referai... l’amour
Pour contraindre l’assassin.
A la lumière du jour
Je suis partie prenante à des rêves clandestins
Mon humeur vagabonde et se pose pour un rien
J’ai le cœur qui abonde des affects assassins
J’ai le cœur qui abonde et qui épie le tien
Je serai l’insoumis
Je mettrai toute ma force
A réparer vos nuits
A réparer l’entorse
Et dans la nuit ultime
Je miserai tout au jeu
Sans alcool dans mes veines
On sera beaucoup mieux
Pour contraindre l’assassin.
A la lumière du jour
Je suis partie prenante à des rêves clandestins
Mon humeur vagabonde et se pose pour un rien
J’ai le cœur qui abonde des affects assassins
J’ai le cœur qui abonde et qui épie le tien
Je serai l’insoumis
Je mettrai toute ma force
A réparer vos nuits
A réparer l’entorse
Et dans la nuit ultime
Je miserai tout au jeu
Sans alcool dans mes veines
On sera beaucoup mieux
Je t’ai porté aux nues
Dans l’éternité pâle
J’ai relevé ta jupe
Pour ranimer mon âme
Des lointains horizons
Je connais les couleurs
Qui peuvent en un instant
Abattre la dame de cœur
J’ai vu de l’or tomber
Dans l’esclandre d’un orage
J’en suis couverte autant
Que de râlements accessoires
Je jouerai tout aux courses
Sur un vieux canasson
Qui le harnais aux dents
Aggravera la rançon.
Je suis partie prenante à des rêves clandestins
Mon humeur vagabonde et se pose pour un rien
J’ai le cœur qui abonde des affects assassins
J’ai le cœur qui abonde et qui épie le tien
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