Paroles de la chanson AZALÉE par IDHEM
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Paroles de la chanson AZALÉE par IDHEM
Laissez-moi dans mon rêve
Pas envie de me réveiller
Quand j'suis dead inside je brille de l'extérieur
J'excelle toujours dès qu'il faut captiver son âme
On m'a trahi beaucoup de fois, ça moisi dans mon coeur
Une main bloqué sur le pommeau, la gouttière qui ruisselle de sang
J'aurais aimé qu'mes cils puissent cacher mon envie
J'aurais aimé qu'mes larmes te sois garanti
C'est un jeu mortel auquel j'voulais pas jouer
Dans les limbes j'penserais à toi, ta flamme me servira de foyer
Pas envie de me réveiller
Quand j'suis dead inside je brille de l'extérieur
J'excelle toujours dès qu'il faut captiver son âme
On m'a trahi beaucoup de fois, ça moisi dans mon coeur
Une main bloqué sur le pommeau, la gouttière qui ruisselle de sang
J'aurais aimé qu'mes cils puissent cacher mon envie
J'aurais aimé qu'mes larmes te sois garanti
C'est un jeu mortel auquel j'voulais pas jouer
Dans les limbes j'penserais à toi, ta flamme me servira de foyer
J'veux juste un truc létal dans mon p'tit nid douillet
Argent, boisson, outil drogue, le cocktail est bien mauvais
Ça commence sur les basses, ça finit toujours sur les guitares
En boucle on répète l'histoire, emporté par un pygargue, voué à périr à la Tantale
J'traîne toujours sous le cerisier, la berge est étonnamment rouge
Et j'dois laisser des flammes ou deux
J'viens des terres rocailleuses, je sais que le temps polie la pierre
L'océan c'était ses yeux, j'ai décidé d'pas prendre la mer
Laissez-moi dans mon rêve
Pas envie de me réveiller
Argent, boisson, outil drogue, le cocktail est bien mauvais
Ça commence sur les basses, ça finit toujours sur les guitares
En boucle on répète l'histoire, emporté par un pygargue, voué à périr à la Tantale
J'traîne toujours sous le cerisier, la berge est étonnamment rouge
Et j'dois laisser des flammes ou deux
J'viens des terres rocailleuses, je sais que le temps polie la pierre
L'océan c'était ses yeux, j'ai décidé d'pas prendre la mer
Laissez-moi dans mon rêve
Pas envie de me réveiller
Les ronces écorchent ma peau, me rappellent la douleur, le manque
J'étais seul avec les rats, assis au milieu d'ma nouvelle planque
Je sais qu'j'reverrai ton spectre, je l'ai accepté, tes mots me hantent
Le ciel a pleuré ce jour-là, nos âmes liées dans un silence
Ta silhouette a fui d'abord et puis ensuite le son d'ta voix
Moi j'savais que c'était la fin, les yeux crevés, j'ai fait un choix
J'ai encore du sang sur les mains, y'a quelques cendres à faire voler
Ta lumière qui somnole en moi, mais maintenant j't'aurais pardonné
Ton nom gravé dans le séquoia, j'y déposerai une azalée
Avant de faire route vers le château que j'ai promis au p'tit que j'étais
En chemin la brise cristallisera les perles qui chutent sur mes joues
Et dans un sanglot éternel, en résonance le bruit du fracas
Les étoiles et la lune n'ont jamais failli un de mes secrets
Je reste loyal à ma lame, au corbeau seul sous les cyprès
Tu m'as dit la mort t'attend, et j'ai bien vu qu'elle s'y prête
Je t'ai dit la vie t'attend, et t'as bien vu qu'elle s'y perd
En chemin la brise cristallisera les perles qui chutent sur mes joues
Et dans un sanglot éternel, en résonance le bruit du fracas
Les étoiles et la lune n'ont jamais failli un de mes secrets
Je reste loyal à ma lame, au corbeau seul sous les cyprès
Tu m'as dit la mort t'attend, et j'ai bien vu qu'elle s'y prête
Je t'ai dit la vie t'attend, et t'as bien vu qu'elle s'y perd
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