Paroles de la chanson Au Revoir par Ikkem
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Paroles de la chanson Au Revoir par Ikkem
Hey
C'est moi
Tu me manques
Cette fin d'année et le début de la nouvelle ont été vraiment difficiles. J'ai beau relativiser et me dire que les choses pourraient être pire, j'ai du mal à voir la lumière. Ca paraît bête mais, si j'avais des soucis je savais que je pouvais compter sur toi. J'ai tellement de fois eu envie de prendre mon téléphone et t'appeler, mais tellement de fois j'ai repensé à tout ce que tu as dis et ce que tu voulais. J'ai horreur des fins étranges, et malgré le fait que je comprenne ta décision, je n'arrive pas entièrement à l'accepter
Je pense toujours qu'un jour on se recroisera
À un meilleur moment, un meilleur timing
La vie est si mal faite
Est-ce que quand je dis adieu à Dieu
Je lui laisse la porte ouverte
Est-ce que quand je bois
Je lèche les gouttes de mon averse
J'inverse mes rouages
Mais ne trouve pas mon nuage
Nu en rage je ne tourne pas la page
J'ai traîné en bas dans l'fond
J'me suis réfugié dans l'son
Pas d'soupcon sur ma motivation
Les cernes sous mes yeux marquent comme la basse
J'ai fait des passes et j'ai fait volte face
Me suis voilé la face quitte à l'envoyer à la casse
À un meilleur moment, un meilleur timing
La vie est si mal faite
Est-ce que quand je dis adieu à Dieu
Je lui laisse la porte ouverte
Est-ce que quand je bois
Je lèche les gouttes de mon averse
J'inverse mes rouages
Mais ne trouve pas mon nuage
Nu en rage je ne tourne pas la page
J'ai traîné en bas dans l'fond
J'me suis réfugié dans l'son
Pas d'soupcon sur ma motivation
Les cernes sous mes yeux marquent comme la basse
J'ai fait des passes et j'ai fait volte face
Me suis voilé la face quitte à l'envoyer à la casse
On m'a fait des crasses mais
Jamais autant que toi
On m'a broyé la carcasse mais
Jamais autant qu'toi
J'ai perdu foi en l'humain depuis qu'j'ai lâchement lâché tes mains
Je n'crois plus au lendemain depuis qu'j'ai vu la veille
Je ne vois plus l'amour depuis qu'j'ai pris pour une veuve une vieille
Regard vide vers l'infini le ciel est gris mais c'n'est pas c'qui rend mon regard noir
Avare de compliments
J'en ai oublier de douter
Descartes écarté trop d'choses à marteler
J'en laisse des traces de poings sur mon sommier
Larmes ensommeillées mais jamais ensevelies
Emmêlé dans des souvenirs bien seul dans un lit
Jamais autant que toi
On m'a broyé la carcasse mais
Jamais autant qu'toi
J'ai perdu foi en l'humain depuis qu'j'ai lâchement lâché tes mains
Je n'crois plus au lendemain depuis qu'j'ai vu la veille
Je ne vois plus l'amour depuis qu'j'ai pris pour une veuve une vieille
Regard vide vers l'infini le ciel est gris mais c'n'est pas c'qui rend mon regard noir
Avare de compliments
J'en ai oublier de douter
Descartes écarté trop d'choses à marteler
J'en laisse des traces de poings sur mon sommier
Larmes ensommeillées mais jamais ensevelies
Emmêlé dans des souvenirs bien seul dans un lit
Sali par des coups bas je n'coupe pas les ponts car j'ai peur de m'noyer
Me vous voyez pas par respect mais parce que j'ne me connais plus
Mon téléphone ne sonne plus
Les âmes courent dans la rue mais la mienne ne s'élèvera que par une grue
Plus l'amour est haut et plus la chute est douloureuse
Plus le ciel est bas et plus l'envie de le rejoindre est aguicheuse
Plus j'y pense et plus j'ai peur que la vie soit moqueuse
Plus j'y pense et plus j'ai peur que la vie soit moqueuse
Plus j'y pense et plus j'ai peur que la vie soit moqueuse
Me vous voyez pas par respect mais parce que j'ne me connais plus
Mon téléphone ne sonne plus
Les âmes courent dans la rue mais la mienne ne s'élèvera que par une grue
Plus l'amour est haut et plus la chute est douloureuse
Plus le ciel est bas et plus l'envie de le rejoindre est aguicheuse
Plus j'y pense et plus j'ai peur que la vie soit moqueuse
Plus j'y pense et plus j'ai peur que la vie soit moqueuse
Plus j'y pense et plus j'ai peur que la vie soit moqueuse
Le silence m'entoure mais le bruit court
Attristé par des non dits
L'impression qu'on était cagoulé comme des bandits
Le coeur est lourd la tête est pleine mais les paroles vides
Salivé sur une rencontre la bouche est devenue sèche quand il fallait parler
La peau est devenue rêche quand il fallait se saluer
Détourner le regard et ne voir que toi
Bavard sur des départs nouveaux je reste pourtant à quai
Matrixé l'impression d'avoir l'esprit hacké
J'ai dit au revoir trop souvent pour ne pas
Avoir l'impression de le balancer au vent
Autour de moi tout est orangé mais le temps n'est pas en automne
L'honneur est bafoué pourtant le ton est monotone
T'as battu des cils j'ai battu en retraite
Tête aussi oscille entre la tristesse et la fête
Si on s'dit au revoir c'est que la vie était pas prête
J'affrète ce morceau des mots qui jamais ne sortiront
J'arrête mon cerveau qu'au moins nous ne chavirons plus
Vagues de pensées et souvenirs
Vagues pensées et souvenirs
Je ne souffre plus le martyre
Il était temps de te laisser partir
Plus l'amour est haut et plus la chute est douloureuse
T'as battu des cils j'ai battu en retraite
Tête aussi oscille entre la tristesse et la fête
Si on s'dit au revoir c'est que la vie était pas prête
J'affrète ce morceau des mots qui jamais ne sortiront
J'arrête mon cerveau qu'au moins nous ne chavirons plus
Vagues de pensées et souvenirs
Vagues pensées et souvenirs
Je ne souffre plus le martyre
Il était temps de te laisser partir
Plus l'amour est haut et plus la chute est douloureuse
Plus le ciel est bas et plus l'envie d'le rejoindre est aguicheuse
Plus j'y pense et plus j'ai peur que la vie soit moqueuse
Plus j'y pense et plus j'ai peur que la vie soit moqueuse
Sur ce troisième couplet qui aurait du disparaître comme mon amour
Je laisse derrière moi toute la haine qui m'entoure
La vérité m'a pris de court
L'impression d'échouer comme pour tellement de mes cours
J'ai pris les jambes à mon cou t'es partie comme une légende sans discours
Les gens n's'en rendront jamais compte
De ces moments dignes d'un conte
Plus j'y pense et plus j'ai peur que la vie soit moqueuse
Plus j'y pense et plus j'ai peur que la vie soit moqueuse
Sur ce troisième couplet qui aurait du disparaître comme mon amour
Je laisse derrière moi toute la haine qui m'entoure
La vérité m'a pris de court
L'impression d'échouer comme pour tellement de mes cours
J'ai pris les jambes à mon cou t'es partie comme une légende sans discours
Les gens n's'en rendront jamais compte
De ces moments dignes d'un conte
Qui font qu'j'me suis senti comme un con
J'te dis merci et au revoir
Mais je ne garde plus d'espoir
Les images dans ma tête se suffisent
Je ne regrette pas le ça suffit
Si un jour je te supplie
Tu auras passé pareil supplice
On aura beau avoir le visage qui se plissent
Le coeur ne vieillit pas
Les sentiments ne s'éteignent pas
J'te dis merci et au revoir
Mais je ne garde plus d'espoir
Les images dans ma tête se suffisent
Je ne regrette pas le ça suffit
Si un jour je te supplie
Tu auras passé pareil supplice
On aura beau avoir le visage qui se plissent
Le coeur ne vieillit pas
Les sentiments ne s'éteignent pas
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