Paroles de la chanson Le Bon, la Bête et le Truand par Illustre
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Paroles de la chanson Le Bon, la Bête et le Truand par Illustre
Est-ce-que l'dernier jour de ma vie sera plus heureux qu'ma vie entière ?
Aurais-je assez pour un crédit et le temps pour une prière ?
Est-ce-qu'on fait tout pour fuir notre vie, ou est-ce-que ce n'est pas la bonne ?
Les erreurs sont-elles réversibles quand celle que l'on aime nous pardonne ?
Chaque nuit, nouvelle rencontre, quand ton corps vibre de son éclat
Mon équilibre, ma solution, l'édifice d'un cœur sans rempart
Mais je n'peux t'expliquer cela, car tout se passe à l'intérieur
Un pincement et vole en éclat la perfection de notre orgueil
Aurais-je assez pour un crédit et le temps pour une prière ?
Est-ce-qu'on fait tout pour fuir notre vie, ou est-ce-que ce n'est pas la bonne ?
Les erreurs sont-elles réversibles quand celle que l'on aime nous pardonne ?
Chaque nuit, nouvelle rencontre, quand ton corps vibre de son éclat
Mon équilibre, ma solution, l'édifice d'un cœur sans rempart
Mais je n'peux t'expliquer cela, car tout se passe à l'intérieur
Un pincement et vole en éclat la perfection de notre orgueil
Ta jolie parure a bien plu apparemment
Mais ils n'avaient que les mots quand je te faisais un serrement
Que je te serrai sincèrement, pour que tu entende fièrement
Le son d'un cœur qui bat au rythme de notre fièvre délirante
À tous les imbéciles qui pensent que j'devrais t'avoir t'oublier
Et toi ? te rappelleras-tu des souvenirs qu'on partageait ?
Des sourires à n'en plus finir, soirée bougie, on se regarde
Le temps d'écrire chacun des grains du sablier qui nous bombarde
R : Fais vibrer l'écho spatial, de tes profondeurs humaines
Je passe mon temps à essayer, à croire l'ivresse de mes espoirs
Tout c'qu'on empêche est précédé, par les échecs de nos histoires
Par des rêves qui voient le jour
Que lorsqu'il fait nuit noir
Serait-ce pour cacher la détresse qui est enfoui à l'intérieur de soi ?
À l'intérieur de toi ? petit être humain
Tu t'es cru plus grand que quoi ?
De celui qui te tend la main ?
Tu es Grands, oui, grand ignorant !
Tu es fort, oui, fort méprisant !
Je passe mon temps à essayer, à croire l'ivresse de mes espoirs
Tout c'qu'on empêche est précédé, par les échecs de nos histoires
Par des rêves qui voient le jour
Que lorsqu'il fait nuit noir
Serait-ce pour cacher la détresse qui est enfoui à l'intérieur de soi ?
À l'intérieur de toi ? petit être humain
Tu t'es cru plus grand que quoi ?
De celui qui te tend la main ?
Tu es Grands, oui, grand ignorant !
Tu es fort, oui, fort méprisant !
Tu apprends, ah ! À parler aux gens
Pendant que les sages grandissent, apprennent à écouter le temps
Le vent souffle la tempête des actes perfides et méprisants
Le karma te repère, effet boomerang, saches qu'il te rend
Pas plus beau si tu n'est pas attentif au silence
Mais plus sot si tu t'entêtes à te conduire comme un enfant
Je suis le bon, la bête, et le truand
Je suis le bon, la bête, et le truand
R : fais vibrer l'échos spatiale, de tes profondeurs humaines
Pendant que les sages grandissent, apprennent à écouter le temps
Le vent souffle la tempête des actes perfides et méprisants
Le karma te repère, effet boomerang, saches qu'il te rend
Pas plus beau si tu n'est pas attentif au silence
Mais plus sot si tu t'entêtes à te conduire comme un enfant
Je suis le bon, la bête, et le truand
Je suis le bon, la bête, et le truand
R : fais vibrer l'échos spatiale, de tes profondeurs humaines
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