Paroles de la chanson Echanges par Interprète Inconnu
Auteurs: Dorin
Editeurs: Coquelicot,Velvetica
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Paroles de la chanson Echanges par Interprète Inconnu
Chéri aussi nous nous aimons que tous les deux nous ne formons qu’un être
Etrange à quatre jambes à quatre bras, deux fronts, deux nez, etcetera
Qui se mélangent, je ne sais quand on s’appartient, lequel de nous deux l’autre tient
Quand on s’enlace et bouche à bouche ou joue à joue
Je ne sais plus si c’est toi ou moi qui t’embrasse
Dessous mon oreiller parfois, je glisse une main que je crois
Etre la mienne, et quand je viens à m’éveiller, je m’aperçois émerveillée que c’est la tienne
Quand il sent le cinq molyneux , le chypre ou le benjoin
Etrange à quatre jambes à quatre bras, deux fronts, deux nez, etcetera
Qui se mélangent, je ne sais quand on s’appartient, lequel de nous deux l’autre tient
Quand on s’enlace et bouche à bouche ou joue à joue
Je ne sais plus si c’est toi ou moi qui t’embrasse
Dessous mon oreiller parfois, je glisse une main que je crois
Etre la mienne, et quand je viens à m’éveiller, je m’aperçois émerveillée que c’est la tienne
Quand il sent le cinq molyneux , le chypre ou le benjoin
Que si que je m’en parfume
Et de même après nos ébats,
Si parfois je sens le tabac c’est quand tu fumes
Lorsque tu as trop travaillé mais c’est moi qui me sens fatiguée
La tête vide et quand je crois que je vieillis c’est toi qui l’affirmes chéri qui as des rides
Si je regarde l’eau couler, c’est toi qui te sens chanceler, pris de vertiges
Et je guéris plus vivement quand tu bois les médicaments que l’on m’inflige
Mieux que toi je peux à loisir, retrouver tous tes souvenirs, dans ma mémoire
Ils y demeurent imprimés et mieux que moi tu connais mes propres histoires
Si bien qu’ayant vécu chacun, avec l’autre ne faisant qu’un
Et de même après nos ébats,
Si parfois je sens le tabac c’est quand tu fumes
Lorsque tu as trop travaillé mais c’est moi qui me sens fatiguée
La tête vide et quand je crois que je vieillis c’est toi qui l’affirmes chéri qui as des rides
Si je regarde l’eau couler, c’est toi qui te sens chanceler, pris de vertiges
Et je guéris plus vivement quand tu bois les médicaments que l’on m’inflige
Mieux que toi je peux à loisir, retrouver tous tes souvenirs, dans ma mémoire
Ils y demeurent imprimés et mieux que moi tu connais mes propres histoires
Si bien qu’ayant vécu chacun, avec l’autre ne faisant qu’un
Le jour funeste
Où l’un de nous deux s’en ira ni l’un ni l’autre ne saura
Celui qui reste
Où l’un de nous deux s’en ira ni l’un ni l’autre ne saura
Celui qui reste
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