Paroles de la chanson Les Caballeros par Interprète Inconnu
Auteurs: Bonifay
Compositeurs: Ledru,Denoncin
Editeurs: Beuscher Arpege
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Paroles de la chanson Les Caballeros par Interprète Inconnu
LES CABALLEROS
On venait y’a pas longtemps
De changer de gouvernement
Et tout le monde semblait content
Quand parlant du ministère
Quelqu’un les trouva gnangnan
Et il n’en fallut pas tant
Un coup de canon
Un coup de clairon
Un coup de piston
Un coup de tromblon
Écartez-vous les piétons
On venait y’a pas longtemps
De changer de gouvernement
Et tout le monde semblait content
Quand parlant du ministère
Quelqu’un les trouva gnangnan
Et il n’en fallut pas tant
Un coup de canon
Un coup de clairon
Un coup de piston
Un coup de tromblon
Écartez-vous les piétons
Voici les CABALLEROS
Qui vont faire la guerre
L’œil noir de colère
Et l’allure fière
Avec un petit coquelicot
A la boutonnière
Et en bandoulière
Un vieux banjo
Y’a toujours sur le parcours
Des gens pour crier
« Ohé » On voit bien que ce ne sont pas eux
Qui vont se faire tuer
Y’en a même qui ont le culot
Parfois de crier « Bravo »
Et qui se planquent aussitôt
Pourtant les CABALLEROS
Rêvant de victoire
S’en vont vers la gloire
Qui vont faire la guerre
L’œil noir de colère
Et l’allure fière
Avec un petit coquelicot
A la boutonnière
Et en bandoulière
Un vieux banjo
Y’a toujours sur le parcours
Des gens pour crier
« Ohé » On voit bien que ce ne sont pas eux
Qui vont se faire tuer
Y’en a même qui ont le culot
Parfois de crier « Bravo »
Et qui se planquent aussitôt
Pourtant les CABALLEROS
Rêvant de victoire
S’en vont vers la gloire
Comme des héros
Mais quand le chef a dit
« Il va y avoir du sang »
Il y eu dans les rangs
Comme un tremblement
Ils étaient partis dix mille
Mais à la sortie de la ville
Ils étaient beaucoup moins que ça
Ceux qui restaient pour se battre
Paraissaient plutôt jaunâtres
Le moral était bien bas
Comme ça commence mal
A dit le général
Faut pas qu’on se cavale
Ça la ficherait mal
Préparons notre arsenal
Mais tous les CABALLEROS
Mais quand le chef a dit
« Il va y avoir du sang »
Il y eu dans les rangs
Comme un tremblement
Ils étaient partis dix mille
Mais à la sortie de la ville
Ils étaient beaucoup moins que ça
Ceux qui restaient pour se battre
Paraissaient plutôt jaunâtres
Le moral était bien bas
Comme ça commence mal
A dit le général
Faut pas qu’on se cavale
Ça la ficherait mal
Préparons notre arsenal
Mais tous les CABALLEROS
Soudain se troublèrent
On aime bien la guerre
Mais sans adversaires
Ils tremblaient comme des grelots
Et dans la poussière
Les plus téméraires
Étaient sur le dos
On ne sait pas qui a tiré
Mais tout le monde a dit
« Ohé » Regardez ce maladroit
Il va nous tuer
Ceux d’en face encore moins chauds
On tous répondu « Mollo »
On veut pas mourir si tôt
Et tous les CABALLEROS
Comme leurs adversaires
Soudains décidèrent
Que s’en était trop
On aime bien la guerre
Mais sans adversaires
Ils tremblaient comme des grelots
Et dans la poussière
Les plus téméraires
Étaient sur le dos
On ne sait pas qui a tiré
Mais tout le monde a dit
« Ohé » Regardez ce maladroit
Il va nous tuer
Ceux d’en face encore moins chauds
On tous répondu « Mollo »
On veut pas mourir si tôt
Et tous les CABALLEROS
Comme leurs adversaires
Soudains décidèrent
Que s’en était trop
Assez de carnage comme ça
A dit le général
Ouvrons le carnaval
Ça ne serait pas plus mal
Faisons donc danser nos femmes
Jusqu’au lever du jour
A bas les tambours
Et viva l’amour
A dit le général
Ouvrons le carnaval
Ça ne serait pas plus mal
Faisons donc danser nos femmes
Jusqu’au lever du jour
A bas les tambours
Et viva l’amour
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