Paroles de la chanson Seule par Isabelle Adjani
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Paroles de la chanson Seule par Isabelle Adjani
[Isabelle Adjani]
On a beau parader et sourire
Parler de tout pour ne rien dire
Ce n'est que s'livrer en pâture
À des gens qui croient vous séduire
Bien sûr, on attire les regards
On a pour vous tous les égards
On vous invente des aventures
Puis on s'étonne de vous savoir
Seul, on l'est partout et toujours
Seul, des gens vous aiment, vous entourent
On se retrouve quand même et toujours
Seul, avec un trop plein d'amour
Que l'on ne donne à une personne
Une seule, mais qui, au petit jour
On a beau parader et sourire
Parler de tout pour ne rien dire
Ce n'est que s'livrer en pâture
À des gens qui croient vous séduire
Bien sûr, on attire les regards
On a pour vous tous les égards
On vous invente des aventures
Puis on s'étonne de vous savoir
Seul, on l'est partout et toujours
Seul, des gens vous aiment, vous entourent
On se retrouve quand même et toujours
Seul, avec un trop plein d'amour
Que l'on ne donne à une personne
Une seule, mais qui, au petit jour
Vous abandonne
Vous abandonne
Vous abandonne
[Akhenaton]
Le paradis m'a été promis à la naissance par l'église catholique
Mais dès dix ans, qu'est-ce que ce monde m'a légué? ddes horreurs cathodiques
Alors j'ai appris à aimer sans artifices ni carapaces
Entre douceur et violence, risquant ma vie chaque fois que je rentrais à ma case
Comme si cent mille démons revenaient ensemble à la charge
La récompense de mes sourires a été de voir mon amitié jetée à la casse
Les fleurs de mon jardin, tout ensevelies par les dunes
Vous abandonne
Vous abandonne
[Akhenaton]
Le paradis m'a été promis à la naissance par l'église catholique
Mais dès dix ans, qu'est-ce que ce monde m'a légué? ddes horreurs cathodiques
Alors j'ai appris à aimer sans artifices ni carapaces
Entre douceur et violence, risquant ma vie chaque fois que je rentrais à ma case
Comme si cent mille démons revenaient ensemble à la charge
La récompense de mes sourires a été de voir mon amitié jetée à la casse
Les fleurs de mon jardin, tout ensevelies par les dunes
Et le désert sentimental avance, chevauché ardement par les thunes
Si seulement j'avais eu ton épaule quand l'air a éraflé mon écorce
Tu n'aurais pas là, victime des conséquences
Rien à foutre des causes, on ne parle pas de compétence
Mais de ce qui germe sur les bancs de l'école,
Comprends ma position et l'origine du poison,
L'étale dans mes prose, on ne peut plus refaire les choses
La vie prend mes sourcils et les fronces,
Le destin m'a poussé dans les fosses
J'survis avec des pierres et des frondes,
Une voix entre la tempe et l'amorse
Le moral a deux doigts de la tombe,
Seule ta patience m'a donné la force
Dans mes jours embrouillés d'humeur sombre,
Si seulement j'avais eu ton épaule quand l'air a éraflé mon écorce
Tu n'aurais pas là, victime des conséquences
Rien à foutre des causes, on ne parle pas de compétence
Mais de ce qui germe sur les bancs de l'école,
Comprends ma position et l'origine du poison,
L'étale dans mes prose, on ne peut plus refaire les choses
La vie prend mes sourcils et les fronces,
Le destin m'a poussé dans les fosses
J'survis avec des pierres et des frondes,
Une voix entre la tempe et l'amorse
Le moral a deux doigts de la tombe,
Seule ta patience m'a donné la force
Dans mes jours embrouillés d'humeur sombre,
J'ai trempé mon vécu dans l'essence
Quinze ans entre l'allumette et les centres,
Des frères de galère, le cœur plein de haine, voulait maintenant me descendre
Ironie du sort pour un mec qui a fait ses classes dans les bandes
Je me suis retrouvé seul avec juste le mur dans mon dos pour me défendre
Parfois debout sur la scène mes yeux parcouraient la salle pleine,
Dans mon cœur j'sentais le vide alors que tout s'ignorait l'ampleur de ma peine
Les sueurs torse compressé, les vertiges fruit des angoisses et des gênes
D'abord vulgaire caillou dans mes semelles, la solitude est devenue ma gêne
Le personnage m'a rattrapé, ensuite a asséché ma sève
Quinze ans entre l'allumette et les centres,
Des frères de galère, le cœur plein de haine, voulait maintenant me descendre
Ironie du sort pour un mec qui a fait ses classes dans les bandes
Je me suis retrouvé seul avec juste le mur dans mon dos pour me défendre
Parfois debout sur la scène mes yeux parcouraient la salle pleine,
Dans mon cœur j'sentais le vide alors que tout s'ignorait l'ampleur de ma peine
Les sueurs torse compressé, les vertiges fruit des angoisses et des gênes
D'abord vulgaire caillou dans mes semelles, la solitude est devenue ma gêne
Le personnage m'a rattrapé, ensuite a asséché ma sève
Dans cette confusion malsaine, seuls tes yeux ont vu ce son sur mes lèvres
Non pas tristement célèbre, simplement jeune, triste et célèbre
On croit échapper à l'enfer en embarquant dans c't'ascenseur qui s'élève
[Isabelle Adjani]
Seul, on l'est partout et toujours
Seul, des gens vous aiment, vous entourent
On se retrouve quand même et toujours
Vous entourent
Seul, on l'est partout et toujours
Les gens vous aiment, vous entourent
Les aiment, vous entourent
Non pas tristement célèbre, simplement jeune, triste et célèbre
On croit échapper à l'enfer en embarquant dans c't'ascenseur qui s'élève
[Isabelle Adjani]
Seul, on l'est partout et toujours
Seul, des gens vous aiment, vous entourent
On se retrouve quand même et toujours
Vous entourent
Seul, on l'est partout et toujours
Les gens vous aiment, vous entourent
Les aiment, vous entourent
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