Paroles de la chanson Final Acte 3 Soupons, soupons, c’est le moment par Jacques Offenbach
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Paroles de la chanson Final Acte 3 Soupons, soupons, c’est le moment par Jacques Offenbach
GABRIELLE.
Soupons, soupons, c’est le moment,
Et tachons de souper gaîment.
Ne nous lançons pas tout de suite
Allons doucement, piano, piano,
C’est sottise d’aller trop vite,
Qui va piano, va sano.
LE BARON.
Prenez mon bras, madame.
PAULINE.
Je le veux bien, baron.
PROSPER.
Souffrez que je réclame.
Soupons, soupons, c’est le moment,
Et tachons de souper gaîment.
Ne nous lançons pas tout de suite
Allons doucement, piano, piano,
C’est sottise d’aller trop vite,
Qui va piano, va sano.
LE BARON.
Prenez mon bras, madame.
PAULINE.
Je le veux bien, baron.
PROSPER.
Souffrez que je réclame.
CLARA.
Je ne vous dis pas non.
BOBINET.
La comtesse est exquise.
LÉONIE.
Taisez-vous, amiral.
URBAIN.
M’acceptez-vous, marquise ?
GABRIELLE.
Comment donc ! général.
ENSEMBLE.
Ne nous lançons pas trop vite, etc., etc.
On s’assied.
BOBINET.
Traçons notre plan de campagne
A Urbain.
Chez vous, en quoi se grise-t-on ?
URBAIN.
En Bourgogne ?
BOBINET, à Prosper.
Et vous ?
PROSPER.
En Champagne.
BOBINET, à Pauline.
BOBINET.
Traçons notre plan de campagne
A Urbain.
Chez vous, en quoi se grise-t-on ?
URBAIN.
En Bourgogne ?
BOBINET, à Prosper.
Et vous ?
PROSPER.
En Champagne.
BOBINET, à Pauline.
Et vous ?
PAULINE.
En Bordeaux.
BOBINET.
Et le baron.
LE BARON.
En tout, en tout, moi je me grise en tout.
PROSPER.
Cette réponse est de bon goût.
LE BARON.
Si nous voulons nous amuser,
En nous grisant, il faut, marquises,
Il faut dire un tas de bêtises.
PAULINE.
En Bordeaux.
BOBINET.
Et le baron.
LE BARON.
En tout, en tout, moi je me grise en tout.
PROSPER.
Cette réponse est de bon goût.
LE BARON.
Si nous voulons nous amuser,
En nous grisant, il faut, marquises,
Il faut dire un tas de bêtises.
ENSEMBLE.
Nous allons dire des bêtises.
BOBINET.
I
En endossant mon uniforme,
Je vis qu’il n’était pas complet,
Je m’aperçus… lacune énorme !
Que je n’avais pas mon plumet.
PROSPER.
De nos hôtes chantons la gloire,
Tous deux ils savent nous charmer,
Oui, tous deux, car l’un nous fait boire,
Et l’autre elle nous fait aimer.
TOUS.
Ah ! ah ! ah ! ça commence !
PROSPER.
Ah ! ah ! ah ! ça commence !
Tout tourne, tout danse,
Et voilà déjà,
Que ma tête s’en va !
TOUS.
Tout tourne, tout danse,
Et voilà déjà,
Que ma tête s’en va !
URBAIN.
II
Volontiers, je fais longue pause,
Quand on me verse du bon vin,
Je prends racine où l’on m’arrose,
PROSPER.
Ah ! ah ! ah ! ça commence !
Tout tourne, tout danse,
Et voilà déjà,
Que ma tête s’en va !
TOUS.
Tout tourne, tout danse,
Et voilà déjà,
Que ma tête s’en va !
URBAIN.
II
Volontiers, je fais longue pause,
Quand on me verse du bon vin,
Je prends racine où l’on m’arrose,
Comme une fleur dans un jardin.
GABRIELLE.
Ce que je ne m’explique guères,
C’est pourquoi l’on boit à Paris,
Le mauvais vin dans les grands verres,
Et le bon vin dans les petits.
TOUS.
Ah ! ah ! ah ! ça commence,
GABRIELLE.
Ah ! ah ! ah ! ça commence !
Tout tourne, tout danse, etc…
PAULINE, élevant son verre.
À vous, baron.
GABRIELLE.
Ce que je ne m’explique guères,
C’est pourquoi l’on boit à Paris,
Le mauvais vin dans les grands verres,
Et le bon vin dans les petits.
TOUS.
Ah ! ah ! ah ! ça commence,
GABRIELLE.
Ah ! ah ! ah ! ça commence !
Tout tourne, tout danse, etc…
PAULINE, élevant son verre.
À vous, baron.
CLARA, même jeu.
À vous, baron.
LÉONIE, même jeu.
À vous, baron.
CLARA, même jeu.
À vous, baron.
LE BARON, qui est gris.
Ah ! mesdames, je vous fais raison.
À la marquise, à la duchesse,
À la baronne, à la comtesse.
BOBINET, également gris.
Baron, je porte une santé,
Et cette santé, c’est la tienne.
À vous, baron.
LÉONIE, même jeu.
À vous, baron.
CLARA, même jeu.
À vous, baron.
LE BARON, qui est gris.
Ah ! mesdames, je vous fais raison.
À la marquise, à la duchesse,
À la baronne, à la comtesse.
BOBINET, également gris.
Baron, je porte une santé,
Et cette santé, c’est la tienne.
LE BARON.
Amiral, ta main dans la mienne.
Ta femme est belle, en vérité.
TOUS, buvant au baron.
À vous, baron !
LE BARON.
Pardieu, je vous ferai raison !
PROSPER, regardant le baron.
Il est gris.
BOBINET.
Il est gris.
ENSEMBLE.
Il est gris, tout à fait gris.
URBAIN.
Il est gris.
LE BARON.
Moi pas gris.
BOBINET.
Il est gris.
LE BARON.
Ils sont tous gris.
ENSEMBLE.
LE BARON.
Moi pas gris,
Mais vous tous gris.
TOUS LES AUTRES.
Il est gris,
Tout à fait gris.
GABRIELLE.
Quand on boit, il est une chose
Qui me surprend fort, mes amis,
Et c’est que pour tout voir en rose,
Il faille soi-même être gris.
REPRISE DE L’ENSEMBLE.
Il est gris.
Etc., etc.
Puis ensuite, sur un mouvement de polka, reprise de l’ensemble : Tout tourne, tout danse. Ils sont tous complètement gris.
CHŒUR FINAL
Feu partout !
Lâchez tout !
Qu’on s’élance,
Que l’on danse !
Feu partout !
Lâchez tout !
Feu partout !
Amiral, ta main dans la mienne.
Ta femme est belle, en vérité.
TOUS, buvant au baron.
À vous, baron !
LE BARON.
Pardieu, je vous ferai raison !
PROSPER, regardant le baron.
Il est gris.
BOBINET.
Il est gris.
ENSEMBLE.
Il est gris, tout à fait gris.
URBAIN.
Il est gris.
LE BARON.
Moi pas gris.
BOBINET.
Il est gris.
LE BARON.
Ils sont tous gris.
ENSEMBLE.
LE BARON.
Moi pas gris,
Mais vous tous gris.
TOUS LES AUTRES.
Il est gris,
Tout à fait gris.
GABRIELLE.
Quand on boit, il est une chose
Qui me surprend fort, mes amis,
Et c’est que pour tout voir en rose,
Il faille soi-même être gris.
REPRISE DE L’ENSEMBLE.
Il est gris.
Etc., etc.
Puis ensuite, sur un mouvement de polka, reprise de l’ensemble : Tout tourne, tout danse. Ils sont tous complètement gris.
CHŒUR FINAL
Feu partout !
Lâchez tout !
Qu’on s’élance,
Que l’on danse !
Feu partout !
Lâchez tout !
Feu partout !
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