Paroles de la chanson Justinien, ce monstre odieux, par Jacques Offenbach
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Paroles de la chanson Justinien, ce monstre odieux, par Jacques Offenbach
GIRAFFIER.
Justinien, ce monstre odieux,
Après m’être couvert de gloire,
Il m’a dépouillé de mes yeux ;
Plaignez-moi, je n’y peux plus voir.
Je demand’ mon pain à présent,
N’ayant plus un sou sur la terre ;
Jetez une obole en passant
Dans le casque de Bélisaire.
PATACHON, prend un air satisfait et semble dire qu’il va chanter mieux que cela.
Sur le pré fleuri, venez, fillettes et garçons,
Danser, folâtrer au joyeux bruit des violons.
Le ciel est d’azur, l’herbette est tendre, l’oiseau chante,
Justinien, ce monstre odieux,
Après m’être couvert de gloire,
Il m’a dépouillé de mes yeux ;
Plaignez-moi, je n’y peux plus voir.
Je demand’ mon pain à présent,
N’ayant plus un sou sur la terre ;
Jetez une obole en passant
Dans le casque de Bélisaire.
PATACHON, prend un air satisfait et semble dire qu’il va chanter mieux que cela.
Sur le pré fleuri, venez, fillettes et garçons,
Danser, folâtrer au joyeux bruit des violons.
Le ciel est d’azur, l’herbette est tendre, l’oiseau chante,
Tout en ce moment, charme, séduit, entraîne, enchante.
Amusez vous, trémoussez-vous, amusez-vous bien ;
Le bonheur ici, joyeux enfants, ne coûte rien.
GIRAFFIER.
ustinien, ce monstre odieux,
Après m’être couvert de gloire,
Il m’a dépouillé de mes yeux ;
Plaignez-moi, je n’y peux plus voir.
Je demand’ mon pain à présent,
N’ayant plus un sou sur la terre ;
Jetez une obole en passant
Dans le casque de Bélisaire.
Sur le pré fleuri, venez, fillettes et garçons,
Danser, folâtrer au joyeux bruit des violons.
Le ciel est d’azur, l’herbette est tendre, l’oiseau chante,
Amusez vous, trémoussez-vous, amusez-vous bien ;
Le bonheur ici, joyeux enfants, ne coûte rien.
GIRAFFIER.
ustinien, ce monstre odieux,
Après m’être couvert de gloire,
Il m’a dépouillé de mes yeux ;
Plaignez-moi, je n’y peux plus voir.
Je demand’ mon pain à présent,
N’ayant plus un sou sur la terre ;
Jetez une obole en passant
Dans le casque de Bélisaire.
Sur le pré fleuri, venez, fillettes et garçons,
Danser, folâtrer au joyeux bruit des violons.
Le ciel est d’azur, l’herbette est tendre, l’oiseau chante,
Tout en ce moment, charme, séduit, entraîne, enchante.
Amusez vous, trémoussez-vous, amusez-vous bien ;
Le bonheur ici, joyeux enfants, ne coûte rien.
Amusez vous, trémoussez-vous, amusez-vous bien ;
Le bonheur ici, joyeux enfants, ne coûte rien.
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