Paroles de la chanson Melancolie Toujours par Jann Halexander
Auteurs: Jann Halexander
Compositeurs: Jann Halexander
Editeurs: Lalouline Editions
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Paroles de la chanson Melancolie Toujours par Jann Halexander
Quand on voit de la mélancolie
Chez ses parents ou chez ses amis
On réalise que toutes nos vies sont sur la même barque…
Quand on lit mélancolie toujours,
Sur les visages de nos amours,
On angoisse pour le dernier jour…où mène la barque…
Il y a comme un regard triste, derrière l’apparent sourire,
Sur une photographie couleur ou noir ou blanc,
Allons cesse de sourire…on croit que tu pleures, Maman…
Amour, quand soudain ton joyeux rire se fige,
Pourquoi ce regard dans le vide, te dis-je,
Chez ses parents ou chez ses amis
On réalise que toutes nos vies sont sur la même barque…
Quand on lit mélancolie toujours,
Sur les visages de nos amours,
On angoisse pour le dernier jour…où mène la barque…
Il y a comme un regard triste, derrière l’apparent sourire,
Sur une photographie couleur ou noir ou blanc,
Allons cesse de sourire…on croit que tu pleures, Maman…
Amour, quand soudain ton joyeux rire se fige,
Pourquoi ce regard dans le vide, te dis-je,
De tous les détails on s’en fiche, aimons-nous comme il faut…
Quelque soit la manière dont elle vient,
Elle fait de nous des enfants, des chiens,
En manque d’affection pour un rien, on cherche nos mots…
On veut tenir fermement une main, pour affronter le destin,
Respirer un grand coup et sentir la Vie,
Alors souris un peu, on croit que t’as peur, l’Ami…
Quand on sonde de la mélancolie,
Chez le chat qui regarde la pluie,
Dans la cuisine couleur nuit, on se sent mal…
On le rejoint devant la fenêtre,
Quelque soit la manière dont elle vient,
Elle fait de nous des enfants, des chiens,
En manque d’affection pour un rien, on cherche nos mots…
On veut tenir fermement une main, pour affronter le destin,
Respirer un grand coup et sentir la Vie,
Alors souris un peu, on croit que t’as peur, l’Ami…
Quand on sonde de la mélancolie,
Chez le chat qui regarde la pluie,
Dans la cuisine couleur nuit, on se sent mal…
On le rejoint devant la fenêtre,
Nous voilà comme deux pauvres êtres,
Dominés par le mal-être, c’est animal…
On veut oublier de réfléchir sur le moindre sens de nos vies…
Et il en fut de tout temps…en couleur et noir et blanc..
Pourquoi donc vous m’avez fait, si c’est pour donner la Mort,
Mais ce qui est fait est fait, je ne veux pas vos remords…
Que la mélancolie cesse, je vous aime mes parents…
Dominés par le mal-être, c’est animal…
On veut oublier de réfléchir sur le moindre sens de nos vies…
Et il en fut de tout temps…en couleur et noir et blanc..
Pourquoi donc vous m’avez fait, si c’est pour donner la Mort,
Mais ce qui est fait est fait, je ne veux pas vos remords…
Que la mélancolie cesse, je vous aime mes parents…
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