Paroles de la chanson O Bel Anjou par Jann Halexander
Auteurs: Jann Halexander
Compositeurs: Jann Halexander
Editeurs: Lalouline Editions
Chanson manquante pour "Jann Halexander" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "O Bel Anjou"
Proposer une correction des paroles de "O Bel Anjou"
Paroles de la chanson O Bel Anjou par Jann Halexander
Qui n'a admiré les ardoises de Trélazé,
Ne peut saisir de l'Anjou son admirable beauté,
Qui ne s'est saoûlé aux arômes de Cointreau,
Ne peut saisir de chez nous ce qui est véritablement beau,
De la Ménitré à la Grisaille de Cholet,
Du Calme de la Maine à la Loire aux crues vaines,
Tous les habitants se ressemblent à s'y méprendre,
D'un calme distant, mais vous ne pouvez le comprendre !
R.
Ô Bel Anjou,
La vie est douce, si ennuyeuse,
Ô Bel Anjou,
Ne peut saisir de l'Anjou son admirable beauté,
Qui ne s'est saoûlé aux arômes de Cointreau,
Ne peut saisir de chez nous ce qui est véritablement beau,
De la Ménitré à la Grisaille de Cholet,
Du Calme de la Maine à la Loire aux crues vaines,
Tous les habitants se ressemblent à s'y méprendre,
D'un calme distant, mais vous ne pouvez le comprendre !
R.
Ô Bel Anjou,
La vie est douce, si ennuyeuse,
Ô Bel Anjou,
La Vie est bourge, te dire Adieu,
Est si tentant, et je ne sais point pourquoi je reste
Du château d'Angers, je n'ai vu que la silhouette,
Se découpant dans le ciel d'une ville bien proprette,
Où l'ordre le dispute aux drames habilement cachés,
Où l'ombre d'un détective ne saurait nous éclairer,
Sur la ville, ça mouillasse, et nous on fait la marienne,
Le tantôt s'achève, avant que le soir ne vienne,
On va au jardin admirer des plantes exotiques,
Délires de païens dans une ville catholique
Est si tentant, et je ne sais point pourquoi je reste
Du château d'Angers, je n'ai vu que la silhouette,
Se découpant dans le ciel d'une ville bien proprette,
Où l'ordre le dispute aux drames habilement cachés,
Où l'ombre d'un détective ne saurait nous éclairer,
Sur la ville, ça mouillasse, et nous on fait la marienne,
Le tantôt s'achève, avant que le soir ne vienne,
On va au jardin admirer des plantes exotiques,
Délires de païens dans une ville catholique
R.
Sur la Maine et Loire, je navigue dans mes rêves,
J'suis dur de la comprenoire, le rêve me sert de trève,
Je fuis le réel, au nez je lui crouille la porte,
Et j'attends, que la faucheuse m'emporte…
Car qui n'a pas goûté à la douceur angevine,
Ne saura en voir toute la froideur mesquine,
J'suis pas vraiment du coin, y'a Maman qu'est de Longué,
Voyez comme c'est pratique, la double-nationalité !!!
R.
Au Pays de Julien Gracq, je craque !
Mais la vie y est moins chère que dans bien d'autres villes,
Sur la Maine et Loire, je navigue dans mes rêves,
J'suis dur de la comprenoire, le rêve me sert de trève,
Je fuis le réel, au nez je lui crouille la porte,
Et j'attends, que la faucheuse m'emporte…
Car qui n'a pas goûté à la douceur angevine,
Ne saura en voir toute la froideur mesquine,
J'suis pas vraiment du coin, y'a Maman qu'est de Longué,
Voyez comme c'est pratique, la double-nationalité !!!
R.
Au Pays de Julien Gracq, je craque !
Mais la vie y est moins chère que dans bien d'autres villes,
Ici on voit le ciel, ce n'est pas comme à Paris …
Ô Bel Anjou,
La vie est parfois merveilleuse
Ô Bel Anjou,
Je n'me vois pas te dire adieu,
Depuis longtemps, je sais enfin pourquoi je reste …
Ô Bel Anjou,
La vie est parfois merveilleuse
Ô Bel Anjou,
Je n'me vois pas te dire adieu,
Depuis longtemps, je sais enfin pourquoi je reste …
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)