Paroles de la chanson Pépètes par Java
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Paroles de la chanson Pépètes par Java
J'étais encore un enfant, quand on s'est rencontrés,
J'ai mis mon adolescence à comprendre combien je t'aimais,
Le jour où je t'ai roulé ma première galoche,
Tu m'as tapé dans l'il avant que je t'aie dans la poche
Depuis ma vie se résume à une course-poursuite,
Chaque fois que je tente de t'effleurer, dis-moi pourquoi tu prends la fuite ?
Avec toi, ça va, ça vient, sans toi je suis un vaurien
En avoir pour son toi, j'aimerais tant, d'ailleurs le temps c'est du toi
Du chagrin, j'en ai gros sur la patate,
J'suis accro de toi sauf quand tu craques
J'ai mis mon adolescence à comprendre combien je t'aimais,
Le jour où je t'ai roulé ma première galoche,
Tu m'as tapé dans l'il avant que je t'aie dans la poche
Depuis ma vie se résume à une course-poursuite,
Chaque fois que je tente de t'effleurer, dis-moi pourquoi tu prends la fuite ?
Avec toi, ça va, ça vient, sans toi je suis un vaurien
En avoir pour son toi, j'aimerais tant, d'ailleurs le temps c'est du toi
Du chagrin, j'en ai gros sur la patate,
J'suis accro de toi sauf quand tu craques
J'ai les bourses qui se rétractent
Ta courbe croissante m'enchante,
Mais ta chute de reins me donne des vertiges et des crampes
T'es la personne la plus ouverte, tu connais pas de frontières
Tu parles toutes les langues et sans briser les barrières
Snob ! La pauvreté te fait horreur
Je t'offrirai tous les parfums toi qui n'as pas d'odeur
Tu ne fais pas le bonheur, procure du plaisir,
Et plus je te désire et plus tu me fais courir
J'te tire mon chapeau et tu m'en fais baver des ronds d'pièces
Je t'aime autant que je te déteste
Ta courbe croissante m'enchante,
Mais ta chute de reins me donne des vertiges et des crampes
T'es la personne la plus ouverte, tu connais pas de frontières
Tu parles toutes les langues et sans briser les barrières
Snob ! La pauvreté te fait horreur
Je t'offrirai tous les parfums toi qui n'as pas d'odeur
Tu ne fais pas le bonheur, procure du plaisir,
Et plus je te désire et plus tu me fais courir
J'te tire mon chapeau et tu m'en fais baver des ronds d'pièces
Je t'aime autant que je te déteste
T'es fraiche et bien roulée, pépètes,
Tout le monde te court après et j'arrive toujours le dernier
Tu m'fais tourner la tête !
Arrête de jouer à cache-cache ou je finirai par te coffrer x2
Arrête ! J'suis franc, j'en veux pas qu'à ton écu, poupée,
Quand arriveras-tu à te poser ?
Ne me quitte pas, il est, paraît-il, des placements fertiles
Donnant plus de blé qu'un meilleur avril
Je ferai un domaine où tu seras reine, où tu seras loi,
Et même si ce domaine existe déjà
Tellement imprévisible, soudain invisible,
D'autres t'ont prise pour cible
Tout le monde te court après et j'arrive toujours le dernier
Tu m'fais tourner la tête !
Arrête de jouer à cache-cache ou je finirai par te coffrer x2
Arrête ! J'suis franc, j'en veux pas qu'à ton écu, poupée,
Quand arriveras-tu à te poser ?
Ne me quitte pas, il est, paraît-il, des placements fertiles
Donnant plus de blé qu'un meilleur avril
Je ferai un domaine où tu seras reine, où tu seras loi,
Et même si ce domaine existe déjà
Tellement imprévisible, soudain invisible,
D'autres t'ont prise pour cible
Reviens dans mes bras, pour toi je serai crédible
Au bal je t'ai invitée à ma table,
Tu m'as snobé et t'es partie danser avec un notable
Pendant que je m'faisais biaiser,
D'autres avant moi avaient déjà appris à te léser
Au début j'étais rongé par la jalousie et puis
J'ai bien vite compris que tu ne ferais jamais le bonheur d'autrui
Toutes tes formes font rêver mais dans le fond, y a rien
Impalpable, liquide, tu fonds dans leurs mains
À peine qu'ils t'ont, tu lorgnes déjà sur les voisins
Tu les rends possessifs, jaloux, radins et mesquins.
Au bal je t'ai invitée à ma table,
Tu m'as snobé et t'es partie danser avec un notable
Pendant que je m'faisais biaiser,
D'autres avant moi avaient déjà appris à te léser
Au début j'étais rongé par la jalousie et puis
J'ai bien vite compris que tu ne ferais jamais le bonheur d'autrui
Toutes tes formes font rêver mais dans le fond, y a rien
Impalpable, liquide, tu fonds dans leurs mains
À peine qu'ils t'ont, tu lorgnes déjà sur les voisins
Tu les rends possessifs, jaloux, radins et mesquins.
T'es partie à la conquête du monde entier,
Et le monde entier a succombé à tes charmes de papier
Aujourd'hui le monde entier est à tes pieds
Et t'es plus que jamais malheureuse comme les blés
T'étais fraîche et bien roulée, pépètes,
Maintenant t'es fade et fardée
Tu donnes le bras à des riches, pépètes,
Mais t'es malheureuse comme les blés.
T'étais fraîche et bien roulée, pépètes,
Maintenant t'es fade et fardée
T'as eu tous les hommes à tes pieds, pépètes,
Mais le seul amant qui t'a manqué, c'est la liberté.
Et le monde entier a succombé à tes charmes de papier
Aujourd'hui le monde entier est à tes pieds
Et t'es plus que jamais malheureuse comme les blés
T'étais fraîche et bien roulée, pépètes,
Maintenant t'es fade et fardée
Tu donnes le bras à des riches, pépètes,
Mais t'es malheureuse comme les blés.
T'étais fraîche et bien roulée, pépètes,
Maintenant t'es fade et fardée
T'as eu tous les hommes à tes pieds, pépètes,
Mais le seul amant qui t'a manqué, c'est la liberté.
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