Paroles de la chanson Fluctuat Nec Mergitur par Jazzy Bazz
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Paroles de la chanson Fluctuat Nec Mergitur par Jazzy Bazz
Un océan dans tes prunelles, dans tes ruelles c'est le néant
Tu es muette, j'espère voir revivre tes rues bientôt
Tu ne dis plus un mot... Ville lumière
Jamais sujette à la servitude même prise en otage
Je rends hommage à ceux pour qui c'était le terminus
Malgré l'orage on empêchera le naufrage, Fluctuat Nec Mergitur
Nous sommes des femmes et des hommes sages
Ça, j'en ai la certitude, j'ai traîné mes godasses
Sur tes pavés, dans tes rues exiguës, sur tes échafaudages
Tu es muette, j'espère voir revivre tes rues bientôt
Tu ne dis plus un mot... Ville lumière
Jamais sujette à la servitude même prise en otage
Je rends hommage à ceux pour qui c'était le terminus
Malgré l'orage on empêchera le naufrage, Fluctuat Nec Mergitur
Nous sommes des femmes et des hommes sages
Ça, j'en ai la certitude, j'ai traîné mes godasses
Sur tes pavés, dans tes rues exiguës, sur tes échafaudages
J'aimais ton silence mais pas celui-là
Injustement, tu refleuriras, quand les bougies seront estompées
C'est pour les nôtres, qui sont tombés
À ceux qui voguèrent sur le navire
Battus par les flots, mais ne sombrent pas
À ceux qui voguèrent sur le navire
On chavire, mais jamais ne s’enfoncera
Vos guerres, nos morts, vos guerres, nos morts
À ceux qui voguèrent sur le navire
Votre souvenir, jamais ne s'estompera
Paris, ton silence est pesant, je n'entends pas mais je ressens
Tes sanglots, l'écho des innocents insoutenable
Le cœur en lambeau, sans récupérer le flambeau
Redoutable, qui guide les poitrines masquées par des bandeaux
Injustement, tu refleuriras, quand les bougies seront estompées
C'est pour les nôtres, qui sont tombés
À ceux qui voguèrent sur le navire
Battus par les flots, mais ne sombrent pas
À ceux qui voguèrent sur le navire
On chavire, mais jamais ne s’enfoncera
Vos guerres, nos morts, vos guerres, nos morts
À ceux qui voguèrent sur le navire
Votre souvenir, jamais ne s'estompera
Paris, ton silence est pesant, je n'entends pas mais je ressens
Tes sanglots, l'écho des innocents insoutenable
Le cœur en lambeau, sans récupérer le flambeau
Redoutable, qui guide les poitrines masquées par des bandeaux
La paix devient introuvable, que de la haine en commando
Si chanceux que je m'en sens coupable
Entre les dividendes et les gisements
Cinq heures, Paris s'éveille en cellule de dégrisement
Rapidement lucides, unis comme des résistants
Puisqu'on nous trucide, ce malgré le déchirement
Messieurs les dirigeants je vous accuse d'onéreuses fautes
S'il faut donner son sang, allez donner le vôtre
Messieurs les dirigeants, s'il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
À ceux qui voguèrent sur le navire
Battus par les flots, mais ne sombrent pas
Si chanceux que je m'en sens coupable
Entre les dividendes et les gisements
Cinq heures, Paris s'éveille en cellule de dégrisement
Rapidement lucides, unis comme des résistants
Puisqu'on nous trucide, ce malgré le déchirement
Messieurs les dirigeants je vous accuse d'onéreuses fautes
S'il faut donner son sang, allez donner le vôtre
Messieurs les dirigeants, s'il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
À ceux qui voguèrent sur le navire
Battus par les flots, mais ne sombrent pas
À ceux qui voguèrent sur le navire
On chavire, mais jamais ne s’enfoncera
Vos guerres, nos morts, vos guerres, nos morts
À ceux qui voguèrent sur le navire
Votre souvenir, jamais ne s'estompera
On se débat là où on instaure des bourbiers
Démocratie et religion sont des symboles détournés
Invoqués pour tuer, imposer tout ses objectifs
Je vous implore d'écouter car la faute est collective
En leurs noms, on use d'obus et de sulfateuse, dans les deux cas
Les pratiques vont des plus obscures au plus radieuses
Paris, tu reflètes le monde entier
C'est un long sentier, avant de fièrement le contempler
On chavire, mais jamais ne s’enfoncera
Vos guerres, nos morts, vos guerres, nos morts
À ceux qui voguèrent sur le navire
Votre souvenir, jamais ne s'estompera
On se débat là où on instaure des bourbiers
Démocratie et religion sont des symboles détournés
Invoqués pour tuer, imposer tout ses objectifs
Je vous implore d'écouter car la faute est collective
En leurs noms, on use d'obus et de sulfateuse, dans les deux cas
Les pratiques vont des plus obscures au plus radieuses
Paris, tu reflètes le monde entier
C'est un long sentier, avant de fièrement le contempler
Ce monde où les problèmes sont encrés
Moi je ne fais que de me contenter
De me dire que les choses vont changer
Mais chaque jour des innocents périssent
L'argent et l'ignorance érigent de violents séismes
Selon où tu nais ta vie n'est qu'un frissonnant périple
J'aimerais que l'avenir de nos minots s'embellisse
Je prie pour la liberté, je n'ai que de l'amour à manifester
Et mes hommages à ceux qui y sont restés
À ceux qui voguèrent sur le navire
Battus par les flots, mais ne sombrent pas
À ceux qui voguèrent sur le navire
On chavire, mais jamais ne s’enfoncera
Moi je ne fais que de me contenter
De me dire que les choses vont changer
Mais chaque jour des innocents périssent
L'argent et l'ignorance érigent de violents séismes
Selon où tu nais ta vie n'est qu'un frissonnant périple
J'aimerais que l'avenir de nos minots s'embellisse
Je prie pour la liberté, je n'ai que de l'amour à manifester
Et mes hommages à ceux qui y sont restés
À ceux qui voguèrent sur le navire
Battus par les flots, mais ne sombrent pas
À ceux qui voguèrent sur le navire
On chavire, mais jamais ne s’enfoncera
Vos guerres, nos morts, vos guerres, nos morts
À ceux qui voguèrent sur le navire
Votre souvenir, jamais ne s'estompera
À ceux qui voguèrent sur le navire
Votre souvenir, jamais ne s'estompera
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