Paroles de la chanson Aïcha par Jean-Claude Gianadda
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Paroles de la chanson Aïcha par Jean-Claude Gianadda
Il faisait toujours gris dans sa tête,
C'est comme ça, allez savoir pourquoi?
Aïcha, la petit'mom'des "Baumettes",
Voulait voir le soleil, rien qu'une fois.
Il faisait toujours gris dans sa tête,
C'est comme ça, on ne se refait pas!
Aïcha, la petit' mom' des "Baumettes",
Voulait voir le soleil, rien qu'une fois.
1.- Pour une " rave ": l'enfer via la seringue, pour un "
crack ": le sordide au quotidien,
Pour un " shoot ": un voyage de dingue, c'est peut-être, la
faute au destin.
Et c'est l'cercle infernal de la défonce, de postcure, en
C'est comme ça, allez savoir pourquoi?
Aïcha, la petit'mom'des "Baumettes",
Voulait voir le soleil, rien qu'une fois.
Il faisait toujours gris dans sa tête,
C'est comme ça, on ne se refait pas!
Aïcha, la petit' mom' des "Baumettes",
Voulait voir le soleil, rien qu'une fois.
1.- Pour une " rave ": l'enfer via la seringue, pour un "
crack ": le sordide au quotidien,
Pour un " shoot ": un voyage de dingue, c'est peut-être, la
faute au destin.
Et c'est l'cercle infernal de la défonce, de postcure, en
fugue, vol et prison
Une vie, un' survie, qui s'enfonce, labyrinthe de la
clochardisation.
Il faisait toujours gris dans sa tête, la galère, on ne la
choisit pas;
Aïcha, la petit' môm' des "Baumettes", voulait voir le
soleil, rien qu'une fois.
2.- Comment sortir, quand dehors le ciel pleure,
boursouflure d'un bras trop piqué,
Et toujours, dans la rue le " dealer ... ", c'est la faute
à la fatalité...
Et d'hôtels minables, en squatts sordides, et d'amours
Une vie, un' survie, qui s'enfonce, labyrinthe de la
clochardisation.
Il faisait toujours gris dans sa tête, la galère, on ne la
choisit pas;
Aïcha, la petit' môm' des "Baumettes", voulait voir le
soleil, rien qu'une fois.
2.- Comment sortir, quand dehors le ciel pleure,
boursouflure d'un bras trop piqué,
Et toujours, dans la rue le " dealer ... ", c'est la faute
à la fatalité...
Et d'hôtels minables, en squatts sordides, et d'amours
scratchés, en coup de " flip"
Quand elle vous tient cette " came " morbide, dites-moi
comment sortir de ce mauvais clip.
3.- Mais un soir qu'elle avait trop de peine, un soir, à
bout de tout, elle a mis
Un peu trop de soleil dans ses veines, et comme un grand
soleil s'éteignit...
Toutes les fleurs ont besoin de lumière, d'un reflet, d'un
printemps qui s'éveille;
Qu'il est dur le chemin qu'il faut faire, pour trouver en
soi, le vrai soleil.
Quand elle vous tient cette " came " morbide, dites-moi
comment sortir de ce mauvais clip.
3.- Mais un soir qu'elle avait trop de peine, un soir, à
bout de tout, elle a mis
Un peu trop de soleil dans ses veines, et comme un grand
soleil s'éteignit...
Toutes les fleurs ont besoin de lumière, d'un reflet, d'un
printemps qui s'éveille;
Qu'il est dur le chemin qu'il faut faire, pour trouver en
soi, le vrai soleil.
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