Paroles de la chanson Demain C Etait Hier par Jean Guidoni
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Paroles de la chanson Demain C Etait Hier par Jean Guidoni
Je n’ai plus peur de rien
Mon cœur n’a plus de peine
Un vieux morceau de pain
Une tasse qui traîne
Et la radio éteinte
Laisse place au silence
Des voix en demi-teintes
Me parle de l’absence
En arrière appuyé
Je me fonds dans l’écume
J’efface la bué
Et ma main devient brume
Mes bras n’ont peur de rien
Mes yeux n’ont plus de haine
Mon cœur n’a plus de peine
Un vieux morceau de pain
Une tasse qui traîne
Et la radio éteinte
Laisse place au silence
Des voix en demi-teintes
Me parle de l’absence
En arrière appuyé
Je me fonds dans l’écume
J’efface la bué
Et ma main devient brume
Mes bras n’ont peur de rien
Mes yeux n’ont plus de haine
Je ne sais si demain
Je briserai les chaînes
Ma mère est revenue
Et tous les autres aussi
Ils avaient disparu
Je les retrouve ici
Ils sont dans ma maison
Ils sont dans le jardin
Traversent les cloisons
Et me sourient soudain
En arrière appuyé
Je me fonds dans l’écume
Je souffle la fumée
Et mon corps devient brume
Je coupe peu à peu
Je briserai les chaînes
Ma mère est revenue
Et tous les autres aussi
Ils avaient disparu
Je les retrouve ici
Ils sont dans ma maison
Ils sont dans le jardin
Traversent les cloisons
Et me sourient soudain
En arrière appuyé
Je me fonds dans l’écume
Je souffle la fumée
Et mon corps devient brume
Je coupe peu à peu
Les fils qui me retiennent
Mes muscles prennent feu
Cette vie c’est la mienne
Elle n’était que ça
Cette faible lumière
Elle s’éteint déjà
Demain c’était hier
En arrière appuyé
Dans le temps, Je me perds
Je ne suis que fumée
Je ne suis que poussière
Je n’ai plus peur de rien
Mon cœur n’a plus de peine
Un vieux morceau de pain
Un frais morceau de pain
Une tasse qui traîne
Mes muscles prennent feu
Cette vie c’est la mienne
Elle n’était que ça
Cette faible lumière
Elle s’éteint déjà
Demain c’était hier
En arrière appuyé
Dans le temps, Je me perds
Je ne suis que fumée
Je ne suis que poussière
Je n’ai plus peur de rien
Mon cœur n’a plus de peine
Un vieux morceau de pain
Un frais morceau de pain
Une tasse qui traîne
Quelques copeaux de laine
Et la radio éteinte
Laisse place au silence
Des voix en demi-teintes
Me parle de l’absence
Demain c’était hier
On l’accepte avec joie
Demain c’était hier
La vie c’était que çà
Je couperai les fils
Quelles sont ses ombres étranges
Je crois les reconnaître
C’est un curieux mélange
Et la radio éteinte
Laisse place au silence
Des voix en demi-teintes
Me parle de l’absence
Demain c’était hier
On l’accepte avec joie
Demain c’était hier
La vie c’était que çà
Je couperai les fils
Quelles sont ses ombres étranges
Je crois les reconnaître
C’est un curieux mélange
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