Paroles de la chanson Il Ne Me Reste Rien par Jean Guidoni
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Paroles de la chanson Il Ne Me Reste Rien par Jean Guidoni
Il ne me reste rien
Dans cette chambre vide
À peine la mémoire
De ces murs délaves
Ou quelques fleurs stupides
Fleurissent dans le soir
Et se fanent aussitôt
Papier peint démodé
Allongé sur mon lit
Dans cette nuit terrible
Je caresse
La trace de ton corps
Éternelle beauté
Tu souris impassible
Plus loin dans une nuit
Dans cette chambre vide
À peine la mémoire
De ces murs délaves
Ou quelques fleurs stupides
Fleurissent dans le soir
Et se fanent aussitôt
Papier peint démodé
Allongé sur mon lit
Dans cette nuit terrible
Je caresse
La trace de ton corps
Éternelle beauté
Tu souris impassible
Plus loin dans une nuit
Ou je n’irai jamais
Je suis l’enfant qui joue
Avant de s’endormir
Je vais fermer les yeux
En comptant des cailloux
Des loups et des moutons
Tes baisers sur ma joue
Tes lèvres sur mon front
Tes caresses dans mon cou
Il ne me reste rien
Dans cette chambre vide
À peine la mémoire
De ces murs délavés (obsédants)
Ou quelques champs de blé
Se courbent dans le vent
Papier peint effacé
Je suis l’enfant qui joue
Avant de s’endormir
Je vais fermer les yeux
En comptant des cailloux
Des loups et des moutons
Tes baisers sur ma joue
Tes lèvres sur mon front
Tes caresses dans mon cou
Il ne me reste rien
Dans cette chambre vide
À peine la mémoire
De ces murs délavés (obsédants)
Ou quelques champs de blé
Se courbent dans le vent
Papier peint effacé
Papier peint arraché
Je suis l’homme qui pleure
Et cet autre qui rit
Et cet homme trahie
Partira loin d’ici
Pour un bonheur, qui meurt
Un autre prend sa place
Et les traînes malheurs
Se noient dans leurs rancoeurs (douleur)
Et alors je me dis
Revenant dans la chambre ( sans un bruit
Dans la lueur blafarde
Et refaisant le lit (et regardant cette chambre)
C’est la chambre du mort
(C’est la chute des corps)
À raison ou à tort
Je suis l’homme qui pleure
Et cet autre qui rit
Et cet homme trahie
Partira loin d’ici
Pour un bonheur, qui meurt
Un autre prend sa place
Et les traînes malheurs
Se noient dans leurs rancoeurs (douleur)
Et alors je me dis
Revenant dans la chambre ( sans un bruit
Dans la lueur blafarde
Et refaisant le lit (et regardant cette chambre)
C’est la chambre du mort
(C’est la chute des corps)
À raison ou à tort
Il faut bien que j’en rie
J’y chanterai encor
Et moi je ne veux rien
Dans chaque nuit, qui vient
Que serrer ton fantôme
Dans mes bras mal fermés
Tu fuis entre mes mains
Et dans ce vide immense
Tu reviens tu t’effaces (je tombe sans défense )
Et c’est déjà demain
Il ne me reste rien
Dans cette chambre vide
À peine la mémoire
De ces murs délavés
Ou quelques oiseaux bleus
J’y chanterai encor
Et moi je ne veux rien
Dans chaque nuit, qui vient
Que serrer ton fantôme
Dans mes bras mal fermés
Tu fuis entre mes mains
Et dans ce vide immense
Tu reviens tu t’effaces (je tombe sans défense )
Et c’est déjà demain
Il ne me reste rien
Dans cette chambre vide
À peine la mémoire
De ces murs délavés
Ou quelques oiseaux bleus
S’envolent dans le ciel
Se posent sur mes yeux
Papiers peints démodés
Se posent sur mes yeux
Papiers peints démodés
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