Paroles de la chanson Le Grand Huit par Jean Guidoni
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Paroles de la chanson Le Grand Huit par Jean Guidoni
Dans une foire au milieu de nulle part
Le hasard m’a déposé un soir
Étonné je me suis réveillé
Dans le noir et les lunes bleutées
Éclairaient
Des manèges qui tournaient lentement
Et des valses qui semblaient m’inviter
À danser sans jamais me blesser
Pourquoi pas ! mais j’ai tout refusé
Inconscient
Ni sur de moi ni sur de rien
Sur ce maudit grand huit
Je me suis installé
Et je m’en mords les doigts
Le hasard m’a déposé un soir
Étonné je me suis réveillé
Dans le noir et les lunes bleutées
Éclairaient
Des manèges qui tournaient lentement
Et des valses qui semblaient m’inviter
À danser sans jamais me blesser
Pourquoi pas ! mais j’ai tout refusé
Inconscient
Ni sur de moi ni sur de rien
Sur ce maudit grand huit
Je me suis installé
Et je m’en mords les doigts
Encore les doigts
Une vie à mourir de rire
Une histoire à dormir debout
Il monte et il descend
Il ne s’arrête jamais
Ce manège enragé
Un grand huit ou il faut s’attacher
Une vie ou il n’faut rien lâcher
Un grand huit aux virages effrayants
Une valse qui tourne violemment
Bruyamment
Ni sur de moi ni sur de rien
Sur ce maudit grand huit
Je me suis accroché
Une vie à mourir de rire
Une histoire à dormir debout
Il monte et il descend
Il ne s’arrête jamais
Ce manège enragé
Un grand huit ou il faut s’attacher
Une vie ou il n’faut rien lâcher
Un grand huit aux virages effrayants
Une valse qui tourne violemment
Bruyamment
Ni sur de moi ni sur de rien
Sur ce maudit grand huit
Je me suis accroché
Et je m’en mords les doigts
Encore les doigts
Une vie à mourir de rire
Une histoire à dormir debout
Il monte et il descend
Il ne s’arrête jamais
Ce manège enragé
À quoi bon ! d’enrager d’avoir peur
De crier de gueuler de pleurer
Le vertige te file des coups au coeur
De couteaux, il se fait le lanceur
Néanmoins
À quoi bon ! espérer d’arrêter
Ce grand huit ne ralenti jamais
Laisse tomber ! cette machine infernale
Un beau jour ! mécanique brutale
Encore les doigts
Une vie à mourir de rire
Une histoire à dormir debout
Il monte et il descend
Il ne s’arrête jamais
Ce manège enragé
À quoi bon ! d’enrager d’avoir peur
De crier de gueuler de pleurer
Le vertige te file des coups au coeur
De couteaux, il se fait le lanceur
Néanmoins
À quoi bon ! espérer d’arrêter
Ce grand huit ne ralenti jamais
Laisse tomber ! cette machine infernale
Un beau jour ! mécanique brutale
Aura ta peau.
Ni sur de moi ni sur de rien
Sur ce maudit grand huit
Je me suis accroché
Et je m’en mords les doigts
Encore les doigts
Une vie à mourir de rire
Une histoire à dormir debout
Il monte et il descend
Il ne s’arrête jamais
Ce manège enragé
Il monte et il descend
Il ne s’arrête jamais
Ce manège enragé
Ni sur de moi ni sur de rien
Sur ce maudit grand huit
Je me suis accroché
Et je m’en mords les doigts
Encore les doigts
Une vie à mourir de rire
Une histoire à dormir debout
Il monte et il descend
Il ne s’arrête jamais
Ce manège enragé
Il monte et il descend
Il ne s’arrête jamais
Ce manège enragé
Il monte et il descend
Il ne s’arrête jamais
Ce manège enragé
Il ne s’arrête jamais
Ce manège enragé
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