Paroles de la chanson Legendes Urbaines par Jean Guidoni

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Paroles de la chanson Legendes Urbaines par Jean Guidoni

Les tristes fin de nuit
Les vapeurs de l’oubli
Et les amours faciles
Un peu de sang séché
Les amours fragiles
Le linge à nettoyer
Et ton orgueil blessé

J’ai gardé sur ma peau
Les traces indélébiles
Des caresses létales
Qui déchire ta chair
Ta peur et ma colère
Une histoire idéale
Et ton orgueil blessé

J’ai gardé sur ma peau
Les rumeurs de la ville
Mes légendes urbaines
ton ombre si fragile
Et tout ce que tu crois
Assassin ou Victime
Je reste près de toi

Mes fous rires funestes
Ta mauvaise rencontre
Ses flammes enragées
Et mes doigts et le geste
Qui te laisse docile
Et ton orgueil blessé

Je gardé sur ma peau
Les traces des piqûres (blessures)
D’où tes larmes s’échappent
La trace du couteau
Quand la lame dérape
Et tes cris étouffés
Et ton orgueil blessé

Les rumeurs de la ville
Mes légendes urbaines
(ton ombre trop fragile)
Et tout ce que tu crois
Assassin ou Victime

J’ai gardé sur ma peau
La trace des piqûres
D’où mes larmes s’échappent
La trace du couteau
Quand la lame dérape
Et tes cris étouffés
Et ton orgueil blessé

J’ai gardé sur ma peau
Tatoués au couteau
Les règles de nos jeux
C’est toujours à huit clos
Que j’obtiens un non-lieu
Les témoins sont muets
Et ton orgueil blessé

Les tristes fin de nuit
Les vapeurs de l’oubli
Et les amours faciles
Un peu de sang séché
Les amours fragiles
Le linge à nettoyer
Et ton orgueil blessé

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