Paroles de la chanson Visages par Jean Guidoni
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Paroles de la chanson Visages par Jean Guidoni
Il vaut mieux quelquefois
Ne pas avoir le choix
Ne plus croire au destin
Ou s’en laver les mains
Et les visages passent
Comme des photographies
Quand je ferme les yeux
Encore saoul de moi-même
Leurs regards sous la pluie
Me chantent des poèmes
Que je ne comprends pas
Et que je n’entends pas
Ou que je ne veux pas
Parce que tous ces visages
Ne pas avoir le choix
Ne plus croire au destin
Ou s’en laver les mains
Et les visages passent
Comme des photographies
Quand je ferme les yeux
Encore saoul de moi-même
Leurs regards sous la pluie
Me chantent des poèmes
Que je ne comprends pas
Et que je n’entends pas
Ou que je ne veux pas
Parce que tous ces visages
Des autres différents
Ne sont pas plus que ça
Ne pas savoir pourquoi
Ne pas aller plus loin
Rester là comme ça
Rester sur sa faim
Je fume une cigarette
Je bois un verre de trop
Je trempe mes doigts dans l’eau
Et, dans l’eau, je me jette
Car il est loin le temps
Ou je croyais encore
Qu’avec un peu de sang
On soignait ses remords
De cette maison morte
Ne sont pas plus que ça
Ne pas savoir pourquoi
Ne pas aller plus loin
Rester là comme ça
Rester sur sa faim
Je fume une cigarette
Je bois un verre de trop
Je trempe mes doigts dans l’eau
Et, dans l’eau, je me jette
Car il est loin le temps
Ou je croyais encore
Qu’avec un peu de sang
On soignait ses remords
De cette maison morte
J’ai peint les murs en rouge
Puis j’ai ferme les portes
Et les fenêtres aussi
Pour que jamais ne bougent
Pour que jamais ne sortent
Les pensées qui nous tuent
Marché des invendus
Et parmi ces visages
Je cherche encore le tien
Ma vie est un naufrage
Mais tu n’y peux plus rien
J’aime mieux mes ennemis
Je choisis mes amis
Que j’aime mes amis
Parmi mes ennemis
Ils ont raison de moi
Puis j’ai ferme les portes
Et les fenêtres aussi
Pour que jamais ne bougent
Pour que jamais ne sortent
Les pensées qui nous tuent
Marché des invendus
Et parmi ces visages
Je cherche encore le tien
Ma vie est un naufrage
Mais tu n’y peux plus rien
J’aime mieux mes ennemis
Je choisis mes amis
Que j’aime mes amis
Parmi mes ennemis
Ils ont raison de moi
Mais après tout tant pis
Ou es-tu maintenant
À l’heure ou je m’endors
Et ton visage passe
Comme une photographie
Ton regard sous la pluie
Me chantent des poèmes
Que je ne comprends pas
Et que je n’entends pas
Et de ma chambre morte
J’ai peint les murs en noir
J’ai cloué sur la porte
Les ailes du désespoir
Leurs visages inconnus
Mais dieu que je les aime
Ou es-tu maintenant
À l’heure ou je m’endors
Et ton visage passe
Comme une photographie
Ton regard sous la pluie
Me chantent des poèmes
Que je ne comprends pas
Et que je n’entends pas
Et de ma chambre morte
J’ai peint les murs en noir
J’ai cloué sur la porte
Les ailes du désespoir
Leurs visages inconnus
Mais dieu que je les aime
Je n’en choisis aucun
Puis j’éteins la lumière
Puis j’éteins la lumière
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