Paroles de la chanson Des violons dans la tête par Jean-Marie Vivier
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Paroles de la chanson Des violons dans la tête par Jean-Marie Vivier
Vous le traitez de tout
Vous le tenez soigneusement
À l'écart de vos enfants
À l'écart de vous, de tout
À cause d'une flamme
Qui s'allume au fond de ses yeux
Vous appelez ça le feu
Et vous éloignez vos femmes
Vous le traitez de tout
Comme si le ciel pouvait donner
Des épines à la voix lactée
Alors que loin de vous
Il a des violons dans la tête
Tout un orchestre symphonique
Ça se déchaîne comme une tempête
Vous le tenez soigneusement
À l'écart de vos enfants
À l'écart de vous, de tout
À cause d'une flamme
Qui s'allume au fond de ses yeux
Vous appelez ça le feu
Et vous éloignez vos femmes
Vous le traitez de tout
Comme si le ciel pouvait donner
Des épines à la voix lactée
Alors que loin de vous
Il a des violons dans la tête
Tout un orchestre symphonique
Ça se déchaîne comme une tempête
On croirait boire de la musique
Quand on voyage dans ses yeux
Vous le traitez de tout
Parce que vous n' pouvez pas comprendre
Vous ne pouvez pas entendre
Ce qu'il écoute sans vous
Une musique étrange
Qui fait briller le fond de ses yeux
Vous appelez ça le feu
Pour ne plus que ça vous dérange
Vous le traitez de tout
Comme si le temps pouvait donner
Des épines à l'éternité
Vous riez entre vous
Il a des violons dans la tête
Tout un orchestre symphonique
Quand on voyage dans ses yeux
Vous le traitez de tout
Parce que vous n' pouvez pas comprendre
Vous ne pouvez pas entendre
Ce qu'il écoute sans vous
Une musique étrange
Qui fait briller le fond de ses yeux
Vous appelez ça le feu
Pour ne plus que ça vous dérange
Vous le traitez de tout
Comme si le temps pouvait donner
Des épines à l'éternité
Vous riez entre vous
Il a des violons dans la tête
Tout un orchestre symphonique
Ça se déchaîne comme une tempête
Un soir, écoutant sa musique
Une femme s'est perdue dans ses yeux
Vous le traitiez de fou
Et vous avez sorti vos armes
Puis appelé les gendarmes
Vous ne riiez plus du tout
À cause d'une étoile
Qui brillait au fond de ses yeux
Vous le trouvez dangereux
Vous parlez de la morale
Cette histoire de fou
Comme si la vie trouvait normal
Qu'un fait divers dans un journal
Puisse vous arriver à vous
Il a des violons dans la tête
Un soir, écoutant sa musique
Une femme s'est perdue dans ses yeux
Vous le traitiez de fou
Et vous avez sorti vos armes
Puis appelé les gendarmes
Vous ne riiez plus du tout
À cause d'une étoile
Qui brillait au fond de ses yeux
Vous le trouvez dangereux
Vous parlez de la morale
Cette histoire de fou
Comme si la vie trouvait normal
Qu'un fait divers dans un journal
Puisse vous arriver à vous
Il a des violons dans la tête
Tout un orchestre symphonique
Ça se déchaîne comme une tempête
On croirait boire de la musique
Ça se déchaîne comme une tempête
On croirait boire de la musique
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