Paroles de la chanson Toi tu ressembles par Jean-Marie Vivier
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Paroles de la chanson Toi tu ressembles par Jean-Marie Vivier
Toi, tu ressembles à la tendresse
Où je relis tout mon passé
Lorsque parfois demain me blesse
Et que je vis en pointillé
Quand mes heures sont douce-amères
Tu voles au temps quelques instants
Pour partager à ta manière
Un peu de mes doutes en passant
Tu es l'accroc à la tristesse
Tu es le vent pour la chasser
Tu connais toutes mes faiblesses
Mais tu ne m'en parles jamais
Toi, tu ressembles à mon enfance
Que j'ai besoin de retrouver
Comme un grand jardin de silence
Où je relis tout mon passé
Lorsque parfois demain me blesse
Et que je vis en pointillé
Quand mes heures sont douce-amères
Tu voles au temps quelques instants
Pour partager à ta manière
Un peu de mes doutes en passant
Tu es l'accroc à la tristesse
Tu es le vent pour la chasser
Tu connais toutes mes faiblesses
Mais tu ne m'en parles jamais
Toi, tu ressembles à mon enfance
Que j'ai besoin de retrouver
Comme un grand jardin de silence
Tu me devines et je le sais
Quand nos heures se font complices
On vole au temps quelques instants
Pour partager avec malice
Tous ces petits riens comme avant
Tu es parfois la solitude
Je suis le vent pour la chasser
Je connais bien tes inquiétudes
Mais je ne sais pas t'en parler
Toi, tu ressembles aux nuits qui passent
Ces nuits où l'on reste éveillé
Pour une vie que l'on retrace
Avec la peur de s'en aller
Quand tes heures sont plus fragiles
Je vole au temps quelques instants
Pour partager mes jours tranquilles
Qui se vivaient tout simplement
Quand nos heures se font complices
On vole au temps quelques instants
Pour partager avec malice
Tous ces petits riens comme avant
Tu es parfois la solitude
Je suis le vent pour la chasser
Je connais bien tes inquiétudes
Mais je ne sais pas t'en parler
Toi, tu ressembles aux nuits qui passent
Ces nuits où l'on reste éveillé
Pour une vie que l'on retrace
Avec la peur de s'en aller
Quand tes heures sont plus fragiles
Je vole au temps quelques instants
Pour partager mes jours tranquilles
Qui se vivaient tout simplement
Toi, tu ressembles à la tendresse
C'est pas facile à expliquer
Ce soir, malgré mes maladresses
J'avais besoin de t'en parler
Ma mère
C'est pas facile à expliquer
Ce soir, malgré mes maladresses
J'avais besoin de t'en parler
Ma mère
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