Paroles de la chanson Une histoire d'amour, un piano mécanique un fleuve par Jean-Marie Vivier
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Paroles de la chanson Une histoire d'amour, un piano mécanique un fleuve par Jean-Marie Vivier
Une histoire d'amour ça fait, quand on s' rappelle
Venir aux yeux de l'eau comme si c'était la pluie
C'est salé comme la mer et lorsque ça ruisselle
On se traite de con en rallumant la nuit
Ainsi quand il m'arrive de partir en voyage
Sur ces foutus souvenirs aux visages fermés
Un surtout me fait mal en précisant l'image
De ses traits ironiques au dessin régulier
Elle s'appelait, qui sait ? Peut-être Cathédrale
Ou Chimère, ou Stentor et son nom m'était doux
Pour le dire j'avais dans la gorge une étoile
Et son éclat dansait un drôle de rendez-vous
Venir aux yeux de l'eau comme si c'était la pluie
C'est salé comme la mer et lorsque ça ruisselle
On se traite de con en rallumant la nuit
Ainsi quand il m'arrive de partir en voyage
Sur ces foutus souvenirs aux visages fermés
Un surtout me fait mal en précisant l'image
De ses traits ironiques au dessin régulier
Elle s'appelait, qui sait ? Peut-être Cathédrale
Ou Chimère, ou Stentor et son nom m'était doux
Pour le dire j'avais dans la gorge une étoile
Et son éclat dansait un drôle de rendez-vous
Il montait de ta peau une étrange musique
Mais ton cœur était froid et tu jouais l'amour
Avec l'indifférence des pianos mécaniques
Ces aveugles sans nuit, ces prophètes sans jour
Oh, bien sûr c'était beau, ça coulait comme un fleuve
Avec ses reflets d'or à la flamme glacée
Qu'importe à son courant que sur la route il pleuve
Il ne voit au piéton qu'un éventuel noyé
C'est ce qui m'arriva lorsque quittant la berge
Fasciné par ton cours je plongeai dans ta vie
Puis, comme un soleil mort qui de la terre émerge
Chaque matin pour moi commença chaque nuit
Une histoire d'amour c'est toujours un peu triste
Mais ton cœur était froid et tu jouais l'amour
Avec l'indifférence des pianos mécaniques
Ces aveugles sans nuit, ces prophètes sans jour
Oh, bien sûr c'était beau, ça coulait comme un fleuve
Avec ses reflets d'or à la flamme glacée
Qu'importe à son courant que sur la route il pleuve
Il ne voit au piéton qu'un éventuel noyé
C'est ce qui m'arriva lorsque quittant la berge
Fasciné par ton cours je plongeai dans ta vie
Puis, comme un soleil mort qui de la terre émerge
Chaque matin pour moi commença chaque nuit
Une histoire d'amour c'est toujours un peu triste
Surtout quand on est seul pour en savoir la fin
On peut être à la fois le public et l'artiste
Mais rire en solitaire ne va jamais bien loin
Un jour je te dirai, si j'en ai le courage
Cette histoire qui jamais ne pourra m'oublier
Une banale aventure pleine de mots d'un autre âge
Comme un grand fleuve en berne au milieu de l'été
On peut être à la fois le public et l'artiste
Mais rire en solitaire ne va jamais bien loin
Un jour je te dirai, si j'en ai le courage
Cette histoire qui jamais ne pourra m'oublier
Une banale aventure pleine de mots d'un autre âge
Comme un grand fleuve en berne au milieu de l'été
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