Paroles de la chanson Au-dessus des rues par Jean Patrick Capdevielle
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Paroles de la chanson Au-dessus des rues par Jean Patrick Capdevielle
Sous les ombres du port, ton prince attend l'aurore.
Il a joué son passeport pour se payer ton corps
Maintenant il a froid.
Dans le jour qui vient, les paumés traînent.
Au bout de leurs chaînes, les bateaux se plaignent
Mais toi t'entends pas.
La nuit prend ton visage, c'est l'heure où les mirages
Dans ma cage, viennent me parler de toi.
T'as jeté ton dernier amant dans la rue.
Maintenant t'es là toute seule, et personne ne viendra
plus.
Il a joué son passeport pour se payer ton corps
Maintenant il a froid.
Dans le jour qui vient, les paumés traînent.
Au bout de leurs chaînes, les bateaux se plaignent
Mais toi t'entends pas.
La nuit prend ton visage, c'est l'heure où les mirages
Dans ma cage, viennent me parler de toi.
T'as jeté ton dernier amant dans la rue.
Maintenant t'es là toute seule, et personne ne viendra
plus.
Au matin, tous tes rêves ont déjà fait naufrage
Quand le ciel s'enflamme, quand le ciel s'enflamme
Au-dessus des rues.
J'étais juste un maraudeur qui volait des étoiles
Et maintenant, c'est normal que tes jeux me fassent mal
Surtout me plains pas.
Les mots qui traînent sur ma langue et dans la raison
tanguent
Et le temps malin coule entre les ombres saoules
Du jour qui vient pas.
Tu peux prier pour moi, tu peux même si tu dois
Chuchoter mon nom devant ma prison, tu vois.
Quand le ciel s'enflamme, quand le ciel s'enflamme
Au-dessus des rues.
J'étais juste un maraudeur qui volait des étoiles
Et maintenant, c'est normal que tes jeux me fassent mal
Surtout me plains pas.
Les mots qui traînent sur ma langue et dans la raison
tanguent
Et le temps malin coule entre les ombres saoules
Du jour qui vient pas.
Tu peux prier pour moi, tu peux même si tu dois
Chuchoter mon nom devant ma prison, tu vois.
J'ai jeté l'orgueil fou qui brûlait ma vie.
Maintenant j'ai plus que mon ombre et tout le reste, on me
l'a pris.
Au matin tous mes rêves ont déjà fait naufrage,
Quand le ciel s'enflamme, quand le ciel s'enflamme,
Au-dessus des rues, au-dessus des rues.
Les enfants des ténèbres et les anges de la rue
T'apprendront tout ce que tu n'as jamais su.
Faut jeter ton espoir quand il te sert plus.
Faut courir dans la nuit comme si rien n'était perdu.
Au matin tous tes rêves ont déjà fait naufrage
Maintenant j'ai plus que mon ombre et tout le reste, on me
l'a pris.
Au matin tous mes rêves ont déjà fait naufrage,
Quand le ciel s'enflamme, quand le ciel s'enflamme,
Au-dessus des rues, au-dessus des rues.
Les enfants des ténèbres et les anges de la rue
T'apprendront tout ce que tu n'as jamais su.
Faut jeter ton espoir quand il te sert plus.
Faut courir dans la nuit comme si rien n'était perdu.
Au matin tous tes rêves ont déjà fait naufrage
Auand le ciel s'enflamme, quand le ciel s'enflamme
Au-dessus des rues.
Faut jeter ton espoir quand il te sert plus.
Faut courir dans la nuit comme si rien n'était perdu.
Au-dessus des rues, au-dessus des rues, au-dessus des rues.
Au-dessus des rues, au-dessus des rues, au-dessus des rues.
Au-dessus des rues.
Faut jeter ton espoir quand il te sert plus.
Faut courir dans la nuit comme si rien n'était perdu.
Au-dessus des rues, au-dessus des rues, au-dessus des rues.
Au-dessus des rues, au-dessus des rues, au-dessus des rues.
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