Paroles de la chanson Des gens ordinaires par Jean Patrick Capdevielle
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Paroles de la chanson Des gens ordinaires par Jean Patrick Capdevielle
T'as du jeu dans tes rêves dès que la nuit's'achève
Quand t'ouvre un œil, t'es déjà vieux.
Ton café dans la tasse, sa fumée qui efface
le goût de la nuit ça t'aide un peu.
Tu choisis toujours le mauvais tempo
Quand tu prends tes airs de desperado
Quand tu fais Gabin dans "Pépé Le Moko" en bien moins
beau.
Tes jours sont comme des mâts de cocagne.
Tu peux toujours bâtir des montagnes
Ou bien tu ne gagnes rien ou du mauvais champagne.
T'es qu'un homme ordinaire comme y'en a plein sur terre.
Quand t'ouvre un œil, t'es déjà vieux.
Ton café dans la tasse, sa fumée qui efface
le goût de la nuit ça t'aide un peu.
Tu choisis toujours le mauvais tempo
Quand tu prends tes airs de desperado
Quand tu fais Gabin dans "Pépé Le Moko" en bien moins
beau.
Tes jours sont comme des mâts de cocagne.
Tu peux toujours bâtir des montagnes
Ou bien tu ne gagnes rien ou du mauvais champagne.
T'es qu'un homme ordinaire comme y'en a plein sur terre.
Avale tes larmes qui datent un peu.
J'connais une femme stupide, tant que la nuit'se dévide
Elle dit qu'elle m'aime, elle pleure un peu.
Le jour, il faut qu'elle touche, ma peau et puis ma bouche
Pour savoir s'il fait beau ou bien s'il pleut.
Elle se croit obligée de brandir des drapeaux
Couverts de noms d'amis venus droit d'Eldorado
De bâtir chaque année un nouveau mur anti-sanglots
Le passé, elle en a fait son navire.
Sur la proue, elle écrit'ses souvenirs.
Elle dit qu'elle attend plus qu'un bon vent pour partir.
C'est qu'une femme ordinaire comme y'en a plein sur terre.
J'connais une femme stupide, tant que la nuit'se dévide
Elle dit qu'elle m'aime, elle pleure un peu.
Le jour, il faut qu'elle touche, ma peau et puis ma bouche
Pour savoir s'il fait beau ou bien s'il pleut.
Elle se croit obligée de brandir des drapeaux
Couverts de noms d'amis venus droit d'Eldorado
De bâtir chaque année un nouveau mur anti-sanglots
Le passé, elle en a fait son navire.
Sur la proue, elle écrit'ses souvenirs.
Elle dit qu'elle attend plus qu'un bon vent pour partir.
C'est qu'une femme ordinaire comme y'en a plein sur terre.
Sa peur des larmes m'agace un peu.
Y'a peu d'hommes sans chemise, la plupart se déguisent.
Au coin des rues, on ne voit qu'eux.
À l'abri de leurs rides, le temps froid se dévide.
Ne crache pas le feu qui veut.
Les mots qui leur font peur, ils appellent ça poème.
Ils courent après le temps de peur d'être à la traîne.
Pour leurs petits cinoches, leur petit cerveau se démène
leurs vielles mamans leur mettent encore des langes.
Y'en a qui croient qu'ils sont un peu des anges
Y'a peu d'hommes sans chemise, la plupart se déguisent.
Au coin des rues, on ne voit qu'eux.
À l'abri de leurs rides, le temps froid se dévide.
Ne crache pas le feu qui veut.
Les mots qui leur font peur, ils appellent ça poème.
Ils courent après le temps de peur d'être à la traîne.
Pour leurs petits cinoches, leur petit cerveau se démène
leurs vielles mamans leur mettent encore des langes.
Y'en a qui croient qu'ils sont un peu des anges
Iis font des gros chagrins quand ils voient que tout change.
C'est des gens ordinaires comme y'en a plein sur terre.
Le flot de leurs larmes, je m'y noie un peu.
C'est des gens ordinaires comme y'en a plein sur terre.
Le flot de leurs larmes, je m'y noie un peu.
C'est des gens ordinaires comme y'en a plein sur terre.
Le flot de leurs larmes, je m'y noie un peu.
C'est des gens ordinaires comme y'en a plein sur terre.
Le flot de leurs larmes, je m'y noie un peu.
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