Paroles de la chanson Les Heures noires par Jean Patrick Capdevielle

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Paroles de la chanson Les Heures noires par Jean Patrick Capdevielle

Peggy rêve d'hommes en satellite, Lili passe en noir.
Mona dit "les heures meurent trop vite"
Mais ça, c'est une autre histoire.
Monsieur Mo s'endort à l'arrière d'un cab anglais ruiné.
C'est plus ce que c'était les affaires, le vent d'Est a
tout cassé.
Les gens passent dans les rues comme dans les histoires.
Des souvenirs inconnus traînent dans leur mémoire.
Depuis que je t'ai perdue, je manque tous les départs.

T'es toujours au fond de ma tête.
T'es toujours là dans les heures noires
Quand ça sert à rien d'attendre au coin d'une gare.
T'es toujours au fond de ma tête.
T'es toujours là dans les heures noires
Comme un goût de venin, quand le jour éteint ses phares.

Ciné bleu passion, court-métrage, Marseille sous la pluie.
C'était qu'une histoire en quatre pages, goodbye Miss
Lovinsky.
T'auras pas d'enfants vers décembre, pas de fille aux yeux
clairs.
Plus de regards dans le miroir ensemble, l'avenir est à
l'envers.
Tu t'en vas par les rues comme dans les histoires.
Des visages inconnus passent dans ta mémoire.
Y'a des mois que je t'ai perdue, y'a des mois que j'essaie
d'y croire.

T'es toujours au fond de ma tête.
T'es toujours là dans les heures noires
Quand ça sert à rien d'attendre au coin d'une gare.
T'es toujours au fond de ma tête.
T'es toujours là dans les heures noires
Comme un goût de venin, quand le jour éteint ses phares

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