Paroles de la chanson Quarante-trois souvenirs par Jean Patrick Capdevielle
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Paroles de la chanson Quarante-trois souvenirs par Jean Patrick Capdevielle
Regarde passer ton rebelle, regarde passer ton fou.
Regarde un peu ton vagabond, il traînera seul jusqu'au bout
Il chasse plus les miracles, mais quand l'ombre l'appelle
Il entend sonner le vent des rues comme un tocsin sous la
grêle.
Il cherchait dans la violence, il cherchait dans ton lit.
Il cherchait dans la rue qui danse
Quarante-trois souvenirs, avant la nuit.
Faut pas trop compter sur moi, faut pas trop espérer.
Regarde un peu ton vagabond, il traînera seul jusqu'au bout
Il chasse plus les miracles, mais quand l'ombre l'appelle
Il entend sonner le vent des rues comme un tocsin sous la
grêle.
Il cherchait dans la violence, il cherchait dans ton lit.
Il cherchait dans la rue qui danse
Quarante-trois souvenirs, avant la nuit.
Faut pas trop compter sur moi, faut pas trop espérer.
J'ai perdu beaucoup trop de temps, tes grimaces vont rien
changer.
Tu te dis mon amie, si tu l'étais vraiment
Tu saurais qu'il vaut mieux partir quand plus rien n'est
comme avant.
Va chercher d'autres visages, va chercher d'autres vies.
Va chercher en tournant les pages
Quarante-trois souvenirs, avant la nuit.
Papa surveille la frontière, Maman guette dans la rue.
Elle dit que c'est pour payer mes dettes
Qu'elle s'est retrouvée toute nue.
Y'a des jours comme ça où j'aimerais tout lâcher.
changer.
Tu te dis mon amie, si tu l'étais vraiment
Tu saurais qu'il vaut mieux partir quand plus rien n'est
comme avant.
Va chercher d'autres visages, va chercher d'autres vies.
Va chercher en tournant les pages
Quarante-trois souvenirs, avant la nuit.
Papa surveille la frontière, Maman guette dans la rue.
Elle dit que c'est pour payer mes dettes
Qu'elle s'est retrouvée toute nue.
Y'a des jours comme ça où j'aimerais tout lâcher.
Monter seul tout en haut d'un toit pour regarder le ciel
tourner.
J'ai cherché sur les montagnes, j'ai cherché sous la
pluie.
J'ai cherché dans le vent d'Espagne
Quarante-trois souvenirs, avant la nuit.
Tous les matins se ressemblent, tous les pleurs sont
pareils.
Tous les pièges à minuit se retendent et les horloges ont
sommeil.
Là-bas, tout au loin, j'entends chanter les loups.
tourner.
J'ai cherché sur les montagnes, j'ai cherché sous la
pluie.
J'ai cherché dans le vent d'Espagne
Quarante-trois souvenirs, avant la nuit.
Tous les matins se ressemblent, tous les pleurs sont
pareils.
Tous les pièges à minuit se retendent et les horloges ont
sommeil.
Là-bas, tout au loin, j'entends chanter les loups.
Y'a sept cavaliers qui s'avancent, mon espoir tient seul
debout.
Faut chercher dans le silence, faut chercher dans l'oubli.
Faut chercher dans le temps qui penche
Quarante-trois souvenirs, avant la nuit.
debout.
Faut chercher dans le silence, faut chercher dans l'oubli.
Faut chercher dans le temps qui penche
Quarante-trois souvenirs, avant la nuit.
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