Paroles de la chanson Les hypocrites par Jean Pierre Haga
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Paroles de la chanson Les hypocrites par Jean Pierre Haga
J’ai déserté les divins rites
Pour pas risquer d’être placé
Sur le mêm’ banc qu’un hypocrite
Venant prier, l’âme glacée
Comme le tondu, à l’air fâché,
Torse bombé, regard farouche
Le colonel endimanché
Qui se tient raide comme un’ souche
Tout’ la semaine, il a planché
Sur un achat qui fera mouche :
Des mitrailleuses pour hâcher
Menu menu tout ce qui bouge
Çui là, à mon avis, il prie,
Au nom du fer, du crime et du saint fusil
J’ai déserté les divins rites
Pour pas risquer d’être placé
Sur le mêm’ banc qu’un hypocrite
Venant prier, l’âme glacée
Comme le tondu, à l’air fâché,
Torse bombé, regard farouche
Le colonel endimanché
Qui se tient raide comme un’ souche
Tout’ la semaine, il a planché
Sur un achat qui fera mouche :
Des mitrailleuses pour hâcher
Menu menu tout ce qui bouge
Çui là, à mon avis, il prie,
Au nom du fer, du crime et du saint fusil
J’ai déserté les divins rites
Pour pas risquer d’être placé
Sur le mêm’ banc qu’un hypocrite
Venant prier, l’âme glacée
Comme la star du second rang
Avec ses doigts chargés de bagues
Et son mari qui la joue grand :
Cravate en soie, cheveux en vagues.
Tout en eux dit, qu’ils sont devant
Qu’ils sont des zigues à faire des zags
Ils sont bavards, ils font du vent
Faut qu’on les voie, non mais sans blague !
Ceux là, à mon avis, ils prient,
Au nom du pèze, du fisc et du saint profit
J’ai déserté les divins rites
Pour pas risquer d’être placé
Sur le mêm’ banc qu’un hypocrite
Venant prier, l’âme glacée
Sur le mêm’ banc qu’un hypocrite
Venant prier, l’âme glacée
Comme la star du second rang
Avec ses doigts chargés de bagues
Et son mari qui la joue grand :
Cravate en soie, cheveux en vagues.
Tout en eux dit, qu’ils sont devant
Qu’ils sont des zigues à faire des zags
Ils sont bavards, ils font du vent
Faut qu’on les voie, non mais sans blague !
Ceux là, à mon avis, ils prient,
Au nom du pèze, du fisc et du saint profit
J’ai déserté les divins rites
Pour pas risquer d’être placé
Sur le mêm’ banc qu’un hypocrite
Venant prier, l’âme glacée
Comme les fêtards qu’ont de la voix
Quand ils éructent en plein cantique
Pour exhiber l’état d’leur foi(e)
De pratiquants ou d’alcooliques.
Pendant l’sermon, aux frais minois
Ils font des yeux en trous d’barriques
Ils matent à fond, espèrent à froid
Ont des idées un peu lubriques.
Ceux là, à mon avis, ils prient,
Au nom du verre, du vice et d’ la sainte orgie
J’ai déserté les divins rites
Pour pas risquer d’être placé
Sur le mêm’ banc qu’un hypocrite
Venant prier, l’âme glacée
Mon septième jour est pour ma caille,
Dont la saint’ grâce est mâtinée
D’un zeste de pensées canailles
Quand ils éructent en plein cantique
Pour exhiber l’état d’leur foi(e)
De pratiquants ou d’alcooliques.
Pendant l’sermon, aux frais minois
Ils font des yeux en trous d’barriques
Ils matent à fond, espèrent à froid
Ont des idées un peu lubriques.
Ceux là, à mon avis, ils prient,
Au nom du verre, du vice et d’ la sainte orgie
J’ai déserté les divins rites
Pour pas risquer d’être placé
Sur le mêm’ banc qu’un hypocrite
Venant prier, l’âme glacée
Mon septième jour est pour ma caille,
Dont la saint’ grâce est mâtinée
D’un zeste de pensées canailles
D’un soupçon d’amour obstiné.
Elle a horreur de la mitraille
Se tresse des bagues en osier
Préfère le regard des marmailles
A ceux, gluants, des gars osés.
Et,elle, n’étant pas sexiste, elle prie
Au nom des mères, des filles et puis des fils aussi.
Elle a horreur de la mitraille
Se tresse des bagues en osier
Préfère le regard des marmailles
A ceux, gluants, des gars osés.
Et,elle, n’étant pas sexiste, elle prie
Au nom des mères, des filles et puis des fils aussi.
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