Paroles de la chanson Une Petite Rue par Jean Tranchant
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Paroles de la chanson Une Petite Rue par Jean Tranchant
UNE PETITE RUE
Une petite rue
En terre mal battue
Aux maisons revêtues
De toits baroques
On entre de plain-pied
Les planchers sont mouillés
Les portes sont rouillées
Mais on s’en moque
Les murs sont effrités
On est mal abrités
Et l’hiver et l’été
La lune louche
Qu’importe on se blottit
On se fait tout petit
Une petite rue
En terre mal battue
Aux maisons revêtues
De toits baroques
On entre de plain-pied
Les planchers sont mouillés
Les portes sont rouillées
Mais on s’en moque
Les murs sont effrités
On est mal abrités
Et l’hiver et l’été
La lune louche
Qu’importe on se blottit
On se fait tout petit
Quand un minois gentil
Offre sa bouche
On vit modestement
Et n’importe comment
Il suffit simplement
D’être soi-même
La joie ne vit jamais
Dans un sombre palais
Mais sous le chaume épais
Où l’on vous aime
Entre ces deux murs-là j’ai vu grandir la ville
Naître les tout-petits, rire les amoureux
Et partir les aventureux
Qui n’aimaient pas la vie facile
Une petite rue
Offre sa bouche
On vit modestement
Et n’importe comment
Il suffit simplement
D’être soi-même
La joie ne vit jamais
Dans un sombre palais
Mais sous le chaume épais
Où l’on vous aime
Entre ces deux murs-là j’ai vu grandir la ville
Naître les tout-petits, rire les amoureux
Et partir les aventureux
Qui n’aimaient pas la vie facile
Une petite rue
En terre mal battue
Aux maisons revêtues
De toits baroques
On entre de plain-pied
Les planchers sont mouillés
Les portes sont rouillées
Mais on s’en moque
Les murs sont effrités
On est mal abrités
Et l’hiver et l’été
La lune louche
Qu’importe on se blottit
On se fait tout petit
Quand un minois gentil
Offre sa bouche
On vit modestement
Et n’importe comment
Il suffit simplement
Aux maisons revêtues
De toits baroques
On entre de plain-pied
Les planchers sont mouillés
Les portes sont rouillées
Mais on s’en moque
Les murs sont effrités
On est mal abrités
Et l’hiver et l’été
La lune louche
Qu’importe on se blottit
On se fait tout petit
Quand un minois gentil
Offre sa bouche
On vit modestement
Et n’importe comment
Il suffit simplement
D’être soi-même
La joie ne vit jamais
Dans un sombre palais
Mais sous le chaume épais
Où l’on vous aime
La joie ne vit jamais
Dans un sombre palais
Mais sous le chaume épais
Où l’on vous aime
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