Paroles de la chanson Faut plus qu'on se revoie par Jeanne Cherhal
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Paroles de la chanson Faut plus qu'on se revoie par Jeanne Cherhal
Faut plus qu'on se revoie
Depuis l'été dernier, je ne pense plus qu'à ça
À cet après-midi du mois de juillet
Quand les eaux tranquilles se sont réveillées
Je sais pas ce qui m'a pris, je sais pas ce qui t'a pris
Je n'ai rien vu venir, je m'y attendais plus
Était-ce l'air de la mer ou juste du cul
Ou cet air sévère que soudain t'avais plus
Tous les deux, seuls dans la maison des vacances
Désertée de tous ses occupants
Pourquoi a-t-il fallu que ça recommence
Pourquoi étais-tu si attirant
Depuis l'été dernier, je ne pense plus qu'à ça
À cet après-midi du mois de juillet
Quand les eaux tranquilles se sont réveillées
Je sais pas ce qui m'a pris, je sais pas ce qui t'a pris
Je n'ai rien vu venir, je m'y attendais plus
Était-ce l'air de la mer ou juste du cul
Ou cet air sévère que soudain t'avais plus
Tous les deux, seuls dans la maison des vacances
Désertée de tous ses occupants
Pourquoi a-t-il fallu que ça recommence
Pourquoi étais-tu si attirant
Parce que c'est la vie et qu'on peut rien y faire
Lequel de nous deux brûlerait le premier en enfer
Je sais pas et tu sais quoi, je préfère pas savoir
Je veux juste te caresser et dénouer ton peignoir
Faut plus qu'on se revoie, ça veut plus rien dire
On ne réchauffe pas les souvenirs
Ma langue dans ta bouche, ma main dans tes cheveux
Ma hanche sur ta hanche et mes doigts où tu veux
Il faut plus qu'on remette ça, c'est pas sérieux du tout
Toi et moi, c'est pas anodin, ça veut même dire beaucoup
Je pense à ce parfum dans ton coupé S
J'suis parisien, on se voit où ?
Mon amour, appelle-moi
J'ai très envie de faire l'amour et j'ai deux heures devant moi
Efface ce message, efface ce message
Je regarde le parc, il y a des fleurs qui pleurent
Y a plus guère que le vent qui les effleure, celui du nord
Alors faisons un pacte jusqu'à la fin des temps
Respectons le serment de nos vingt-cinq printemps
Toi et moi, c'est pas anodin, ça veut même dire beaucoup
Je pense à ce parfum dans ton coupé S
J'suis parisien, on se voit où ?
Mon amour, appelle-moi
J'ai très envie de faire l'amour et j'ai deux heures devant moi
Efface ce message, efface ce message
Je regarde le parc, il y a des fleurs qui pleurent
Y a plus guère que le vent qui les effleure, celui du nord
Alors faisons un pacte jusqu'à la fin des temps
Respectons le serment de nos vingt-cinq printemps
Je te rappelle que tu as un fils adolescent
Qui trouverait bizarre que ses parents remettent ça
Soyons raisonnables, soyons décents
Ne me regarde pas comme ça
Faut plus qu'on se revoie, oui mais c'est impossible
Enfin c'est toi qui vois, enfin c'est toi qui décide
Comme lorsque tu décides de passer ta main sous la table
Et que j'avale de travers toute l'eau minérale
Faut plus qu'on se revoir mais je t'ai dans la peau
Tes épaules, tes bras, ton dos
L'agilité saine de tes mains
La cinquantaine, ça te va bien
Le labyrinthe de tes jambes et tes lèvres partout
Le jacuzzi qui bout, le vent qui rabat les bambous
Quelques regards gênés malgré les mots d'amour fous
Mais pour grande personne, puis ton téléphone qui sonne
Prends-moi par surprise mon cœur
Que je réalise mon bonheur
Prends-moi en vitesse et disparaît
Ne gardons que les moments parfaits
La réservation est au nom de monsieur et madame Dufour
La cinquantaine, ça te va bien
Le labyrinthe de tes jambes et tes lèvres partout
Le jacuzzi qui bout, le vent qui rabat les bambous
Quelques regards gênés malgré les mots d'amour fous
Mais pour grande personne, puis ton téléphone qui sonne
Prends-moi par surprise mon cœur
Que je réalise mon bonheur
Prends-moi en vitesse et disparaît
Ne gardons que les moments parfaits
La réservation est au nom de monsieur et madame Dufour
Je crois que la vue sur mer c'est niquée c'est juste d'une vue sur cours
Alors je ferai les bails et les lames de fond
Ne passe pas par le lobby caché, caché vivant
Mais qui t'a appris à faire ça ?
Je ne te reconnais pas
Moi qui ne te connais que trop
J'ai comme un frisson nouveau
Je sais que t'aimes bien la poésie mais j'ai de mauvaises manières
Chaque jour qui passe te rend plus bonne
T'éteins plus la lumière
T'as étoffé ta panoplie, tu peux en être fière
Viens, on embarque tout le monde au sport d'hiver
Alors je ferai les bails et les lames de fond
Ne passe pas par le lobby caché, caché vivant
Mais qui t'a appris à faire ça ?
Je ne te reconnais pas
Moi qui ne te connais que trop
J'ai comme un frisson nouveau
Je sais que t'aimes bien la poésie mais j'ai de mauvaises manières
Chaque jour qui passe te rend plus bonne
T'éteins plus la lumière
T'as étoffé ta panoplie, tu peux en être fière
Viens, on embarque tout le monde au sport d'hiver
J'ai croisé ta sœur à Ménilmontant hier
Elle m'a trouvé radieuse, je la cite
Et elle m'a demandé si j'avais quelqu'un
Si elle savait, si elle savait
Moi j'ai revu tes parents qui m'ont soigneusement ignoré
Tu crois qu'ils seraient contents de savoir qu'on est réconciliés
Que l'autre jour dans leur maison on a rebaptisé
Cuisine, terrasse, séjour, salon
Faut plus qu'on se revoie, ça va mal finir
Pour toi, pour moi, à l'avenir
Gardons nos distances même si j'imagine
Ta main qui se glisse dans mon jean
Et qui continue fier son bout de chemin
En toi qui est la mère et aussi la putain
Je t'aime tout entière et tu m'aimes toujours bien
Emoji aubergine, emoji paire de seins
Faut plus qu'on se revoir
Ah, faut plus qu'on se revoie non
Faut plus qu'on se revoie
Non, faut plus qu'on se revoie
Je ne pense qu'à ça
Je ne pense qu'à ça
Alors, faut plus qu'on se revoie
Alors, faut plus qu'on se revoie
Faut plus qu'on se revoie
Faut plus qu'on se re revoie
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