Paroles de la chanson C Est Le Debut De Quelque Chose par Jeph
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Paroles de la chanson C Est Le Debut De Quelque Chose par Jeph
Tu as vu ce matin
Comme c’était gigantesque
Ça serrait dans nos poings
Ça nous soulevait presque
Tu as vu l’éclosion
Le sourire des « sans-dent »
La couleur du patron
Le retour du vivant
Un soleil s’est levé
Sur une autre planète
Qui battait le pavé
D’une pluie de canettes
Un monceau de granit
Comme c’était gigantesque
Ça serrait dans nos poings
Ça nous soulevait presque
Tu as vu l’éclosion
Le sourire des « sans-dent »
La couleur du patron
Le retour du vivant
Un soleil s’est levé
Sur une autre planète
Qui battait le pavé
D’une pluie de canettes
Un monceau de granit
Apportait des nouvelles
D’un tout dernier zénith
Et des mioches à la pelle
Refrain
C’est le début de quelque chose
On dirait que ça s’lève
On dirait qu’autre chose
Est en train de naître
On sentait le café
Remuer dans nos veines
Un joyeux cabaret
S’agitait vers la Seine
On mettait des guirlandes
Aux sabres des statues
Des parfums de lavande
D’un tout dernier zénith
Et des mioches à la pelle
Refrain
C’est le début de quelque chose
On dirait que ça s’lève
On dirait qu’autre chose
Est en train de naître
On sentait le café
Remuer dans nos veines
Un joyeux cabaret
S’agitait vers la Seine
On mettait des guirlandes
Aux sabres des statues
Des parfums de lavande
Remontaient de la rue
J’avais les yeux troublés
Par la cérémonie
Je me suis apaisé
Dans le son de nos cris
Marianne était contente
Il y avait du grabuge
Une seule déferlante
Pour tout dernier refuge
Refrain
Villon volait dans l’air
C’était la cavalcade
Aux pigeons les parterres
J’avais les yeux troublés
Par la cérémonie
Je me suis apaisé
Dans le son de nos cris
Marianne était contente
Il y avait du grabuge
Une seule déferlante
Pour tout dernier refuge
Refrain
Villon volait dans l’air
C’était la cavalcade
Aux pigeons les parterres
Aux avions les aubades
On sentait la Commune
Éructer de naguère
À cheval sur la lune
Et les hélicoptères
La douce mélopée
Des enfants du grand soir
Ajustait la portée
Du coin de ses regards
Un aïeul expliquait
L’illustre protocole
Et des gamins chantaient
D’anciennes carmagnoles
Refrain
On sentait la Commune
Éructer de naguère
À cheval sur la lune
Et les hélicoptères
La douce mélopée
Des enfants du grand soir
Ajustait la portée
Du coin de ses regards
Un aïeul expliquait
L’illustre protocole
Et des gamins chantaient
D’anciennes carmagnoles
Refrain
Ça prenait une ampleur
A faire tomber les murs
Un tout nouvel empereur
Arborait son armure
C’était la voix du peuple
Qui sortait d’outre-tombe
Une baffe dans ta gueule
Faisait l’effet d’une bombe
Un tonnerre a pris place
Au lieu-dit « République »
Une immense carcasse
Se relève en musique
Des enfants prennent en main
L’avenir qui les chasse
Entonnant ce refrain
De mille voix de Callas
Refrain
De mille voix de Callas
Refrain
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