Paroles de la chanson Tranches De Vie par Jeune Goinfre
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Paroles de la chanson Tranches De Vie par Jeune Goinfre
J’ai été le Raspoutine de bien des coeurs
Puis j’ai jauni, me suis flétri de l’intérieur
Ma peine est dense comme un miasme souverain
Mon âme chante des cantiques éteints
Que dire de cette engeance moderne
Qui croit avoir maîtrisé les ondes
Que dire de la fameuse caverne
Où a commencé la fronde.
A cette heure tardive où doivent se retirer
Roi, dame, cavalier, tous gent des bravos
Les petits maîtres dont je suis
« La caque sent toujours le haro »
Je voudrais ajouter à cet art du paraître
Quelques mots en guise d’épitaphe
Que l’on pourra tout à loisir faire sauter comme quelque agrafe .
Puis j’ai jauni, me suis flétri de l’intérieur
Ma peine est dense comme un miasme souverain
Mon âme chante des cantiques éteints
Que dire de cette engeance moderne
Qui croit avoir maîtrisé les ondes
Que dire de la fameuse caverne
Où a commencé la fronde.
A cette heure tardive où doivent se retirer
Roi, dame, cavalier, tous gent des bravos
Les petits maîtres dont je suis
« La caque sent toujours le haro »
Je voudrais ajouter à cet art du paraître
Quelques mots en guise d’épitaphe
Que l’on pourra tout à loisir faire sauter comme quelque agrafe .
Toutes ces caisses et toutes ces malles
Remplies de choses dont nous sommes avides
Nous pourrissent les entrailles et nous retiennent dans le vide
Revenons à présent sur les récents travaux pudiques des Barriot,
Sur la persistance d’un dieu unique et personnel à barbe blanche
Qui, du haut de sa divine aphasie, sa divine athambie, sa divine atropie,
Nous aime tous !
Il apparaît dans un luxe technicolor, en 3 D, le dimanche en fin d’après-midi,
Entouré des ses anges, devant une foule cathodique de joyeux larrons
Réunis pour l’occasion.
Célébrons ! Célébrons ! Abrah ! Abrah ! Abrah !
Disons n’importe quoi, plus rien n’a vraiment de sens ni d’importance,
« Money makes the world go round !» (x3)
Cousin, cousine, chère nièce du brésil,
Devant ce carnaval absurde je vais délivrer le message,
Mais auparavant une page de pub ! N’anticipons pas !
Toutes ces caisses et toutes ces malles
Remplies de choses dont nous sommes avides
Nous pourrissent les entrailles et nous retiennent dans le vide
J’essaye tout, je suis insatiable : la politique, la mafia, même Dieu !
Disons n’importe quoi, plus rien n’a vraiment de sens ni d’importance,
« Money makes the world go round !» (x3)
Cousin, cousine, chère nièce du brésil,
Devant ce carnaval absurde je vais délivrer le message,
Mais auparavant une page de pub ! N’anticipons pas !
Toutes ces caisses et toutes ces malles
Remplies de choses dont nous sommes avides
Nous pourrissent les entrailles et nous retiennent dans le vide
J’essaye tout, je suis insatiable : la politique, la mafia, même Dieu !
Etre un artiste non de non quelle blague ! Humain, concierge, roi : qui dit mieux ?
Je vole un pain : je suis misérable ;
Je lâche la bombe : je suis demi-dieu !
Seul le nombre sanctifie l’idole,
Pour peu qu’on y sacrifie l’homme !
Toutes ces caisses et toutes ces malles
Remplies de choses dont nous sommes avides…
Je vole un pain : je suis misérable ;
Je lâche la bombe : je suis demi-dieu !
Seul le nombre sanctifie l’idole,
Pour peu qu’on y sacrifie l’homme !
Toutes ces caisses et toutes ces malles
Remplies de choses dont nous sommes avides…
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