Paroles de la chanson L'auteur de mes contes par Joysad
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Paroles de la chanson L'auteur de mes contes par Joysad
Fuck
Joy
L'auteur de mes contes
Combien de sons que je regrette, combien, combien d'erreurs que je referai pas
Pourquoi je ne recommencerai pas ?
J'étais si proche du trépas
Mais Joy il est pas mort (colle à la peau)
Mais cette musique me butera
J'ai plus que ça, je le sais très bien
Fuck
(Compter pour toi)
Donc fuck
Parce que j'ai que ça et je le sais très bien
Bon, nouveau projet, nouvel album, nouvelle DA, enfin pas vraiment
Joy
L'auteur de mes contes
Combien de sons que je regrette, combien, combien d'erreurs que je referai pas
Pourquoi je ne recommencerai pas ?
J'étais si proche du trépas
Mais Joy il est pas mort (colle à la peau)
Mais cette musique me butera
J'ai plus que ça, je le sais très bien
Fuck
(Compter pour toi)
Donc fuck
Parce que j'ai que ça et je le sais très bien
Bon, nouveau projet, nouvel album, nouvelle DA, enfin pas vraiment
Je suis resté le même, pas de changement, je suis juste plus fort
Étrangement, je suis reparti de zéro, sans élan, sans zéler, et sans céder
À l'idée de me laisser die mais je l'ai pas fait, on m'a aidé
J'ai mis sur papier la peine la plus profonde au fond de mon être
On est trop à penser pareil, alors je l'écris, faut qu'on se connecte
On se connaît pas, tu vas me connaître, parce que le peura, mois ça me connaît
J'ai toujours découpé comme Conan, oui mais j'ai connu trop de connasses
Qui voulaient soit avoir du buzz, avoir du cash, avoir de la cons
Mais je me recentre, j'ai repris du goût, je fais que du rap, j'ai pas de vacances
Étrangement, je suis reparti de zéro, sans élan, sans zéler, et sans céder
À l'idée de me laisser die mais je l'ai pas fait, on m'a aidé
J'ai mis sur papier la peine la plus profonde au fond de mon être
On est trop à penser pareil, alors je l'écris, faut qu'on se connecte
On se connaît pas, tu vas me connaître, parce que le peura, mois ça me connaît
J'ai toujours découpé comme Conan, oui mais j'ai connu trop de connasses
Qui voulaient soit avoir du buzz, avoir du cash, avoir de la cons
Mais je me recentre, j'ai repris du goût, je fais que du rap, j'ai pas de vacances
J'arrêterai pas et je lâcherai pas, non je laisserai pas ma place vacante
C'est toujours moi, toujours mes textes, c'est toujours moi l'auteur de mes contes
C'est pas des fables, c'est que du vrai, c'est mieux que tout ce que j'ai fait avant
Je faisais mes dents parce que la musique faut bien la faire mais faut la vendre
Alors que je m'en branle de me faire certif, alors que je m'en branle de faire de l'argent
Je m'en branle si je fais pas comme les gens, je m'en branle si je suis pas une légende
C'est con si je laisse passer ma chance quand même, alors que j'ai fait tout ça
Même si j'ai plein de sons que je regrette ou je trouve que mes rimes ça pue sale
Je me dis que des gens ont voulu tendre leur oreille sur mon art comme si mes sons valaient Van Gogh
C'est toujours moi, toujours mes textes, c'est toujours moi l'auteur de mes contes
C'est pas des fables, c'est que du vrai, c'est mieux que tout ce que j'ai fait avant
Je faisais mes dents parce que la musique faut bien la faire mais faut la vendre
Alors que je m'en branle de me faire certif, alors que je m'en branle de faire de l'argent
Je m'en branle si je fais pas comme les gens, je m'en branle si je suis pas une légende
C'est con si je laisse passer ma chance quand même, alors que j'ai fait tout ça
Même si j'ai plein de sons que je regrette ou je trouve que mes rimes ça pue sale
Je me dis que des gens ont voulu tendre leur oreille sur mon art comme si mes sons valaient Van Gogh
Monet ou le tableau de la Mona et ça c'est beau écoute mes sons quand tu te sens mal
Tu ressens l'effet, pas de placebo
J'ai mis trop de temps pour faire ma place mais je me sens bien, ici c'est bon
Et désolé si je tourne en boucle, si je me répète, excusez-moi
Mes sentiments se bousculent en moi, et changent au gré des quatre saisons
Et je m'amaigris pendant l'hiver, pendant l'automne, je reprends du poids
Faut quand même dire que l'hiver dernier c'était trop froid
J'ai pris du poil, j'ai fait des A/R aux cimetières
Sans me prosterner devant la croix
J'ai remis des fleurs sur mon frère en me demandant
Tu ressens l'effet, pas de placebo
J'ai mis trop de temps pour faire ma place mais je me sens bien, ici c'est bon
Et désolé si je tourne en boucle, si je me répète, excusez-moi
Mes sentiments se bousculent en moi, et changent au gré des quatre saisons
Et je m'amaigris pendant l'hiver, pendant l'automne, je reprends du poids
Faut quand même dire que l'hiver dernier c'était trop froid
J'ai pris du poil, j'ai fait des A/R aux cimetières
Sans me prosterner devant la croix
J'ai remis des fleurs sur mon frère en me demandant
Ça sert à quoi de faire ça, ça sert à quoi de faire ça
J'arrêterai pas, je lâcherai pas, je laisserai pas
Ma place vacante, c'est toujours moi
Toujours mes textes, c'est toujours moi, l'auteur de mes contes
J'arrêterai pas, je lâcherai pas, je laisserai pas
Ma place vacante, c'est toujours moi
Toujours mes textes, c'est toujours moi, l'auteur de mes contes
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