Paroles de la chanson Ca Ne Suffit Pas par Judith
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Paroles de la chanson Ca Ne Suffit Pas par Judith
Promesse de destins qui se chavirent, ça fait plutôt sourire dans les premiers temps.
Puis l’homme sous l’emprise de ses désirs, veux–tu m’aider à gravir les marches du temps?
Plus de traversée du désert, mon manque et mon air, je ne me lasse pas de toi, plaisir de souffler sur les braises, de toucher quand même si ça brûle au bout des doigts.
A quoi bon s’en cacher, je t’aime et ça ne me suffit pas,éperdue d’envies et de rêves pour la première fois.
L’amour se pare pour nous éblouir, difficile de prédire ce qui nous attend.
L’idéal sous forme de souvenir, on finit par devenir, ce qu’on détestait tant.
Puis l’homme sous l’emprise de ses désirs, veux–tu m’aider à gravir les marches du temps?
Plus de traversée du désert, mon manque et mon air, je ne me lasse pas de toi, plaisir de souffler sur les braises, de toucher quand même si ça brûle au bout des doigts.
A quoi bon s’en cacher, je t’aime et ça ne me suffit pas,éperdue d’envies et de rêves pour la première fois.
L’amour se pare pour nous éblouir, difficile de prédire ce qui nous attend.
L’idéal sous forme de souvenir, on finit par devenir, ce qu’on détestait tant.
A présent, je lis sur tes lèvres l’histoire qui s’achève et j’en perçois les premiers pas.
Le plaisir de l’âme est plus fort que l’élan du corps, on s’envisage du bout des doigts.
Pourtant rien n’a changé, on s’aimait, ça ne nous suffit pas. Dénuée d'armes et de remèdes face à la vie qui va.
Quand l’ombre se lève et se fait sentir, on n’peut pas retenir la marche du temps, les rires ont fait places à nos soupirs.
On n’a plus qu’à se laisser, se laisser au vent.
Merci d’avoir porté ces lignes, offert cette trève dans ce monde de pourquoi, c’est bien plus qu’une question d’heures, la chasse au bonheur que j’ai touché du bout des doigts.
Comme quoi on peut s’aimer, certes, mais parfois l’amour ça laisse un froid.
Le plaisir de l’âme est plus fort que l’élan du corps, on s’envisage du bout des doigts.
Pourtant rien n’a changé, on s’aimait, ça ne nous suffit pas. Dénuée d'armes et de remèdes face à la vie qui va.
Quand l’ombre se lève et se fait sentir, on n’peut pas retenir la marche du temps, les rires ont fait places à nos soupirs.
On n’a plus qu’à se laisser, se laisser au vent.
Merci d’avoir porté ces lignes, offert cette trève dans ce monde de pourquoi, c’est bien plus qu’une question d’heures, la chasse au bonheur que j’ai touché du bout des doigts.
Comme quoi on peut s’aimer, certes, mais parfois l’amour ça laisse un froid.
Perdue quand j’ai goûté ses lèvres pour la première fois.
Perdue quand je sais la lumière, du saut de la dernière fois.
Perdue quand je sais la nuit de notre rêve, je sais la nuit de notre rêve.
Perdue quand je sais la lumière, du saut de la dernière fois.
Perdue quand je sais la nuit de notre rêve, je sais la nuit de notre rêve.
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