Paroles de la chanson La vie passe par Julos Beaucarné
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Paroles de la chanson La vie passe par Julos Beaucarné
La vie passe
Et si tu la rates
Si tu fais semblant d'oublier
Elle repasse
Elle te poignarde
Ton coeur jeune est vite étouffé
À vingt ans, tu es à l'hospice
Un masque a été posé sur tes yeux
Et ton âme est triste, pour toujours
Te voilà noyé
Il n'y a plus de sauvetage
L n'y a plus de bouée
Rose rouge, rose fade
Les jours s'écoulent usés
Le soleil lui-même se fane
Et si tu la rates
Si tu fais semblant d'oublier
Elle repasse
Elle te poignarde
Ton coeur jeune est vite étouffé
À vingt ans, tu es à l'hospice
Un masque a été posé sur tes yeux
Et ton âme est triste, pour toujours
Te voilà noyé
Il n'y a plus de sauvetage
L n'y a plus de bouée
Rose rouge, rose fade
Les jours s'écoulent usés
Le soleil lui-même se fane
C'est toujours la morte saison
Plus de clair de lune pour l'âme
Plus de fous et plus de chansons
Aujourd'hui, ta belle cravate
Et sur les boutons historiés
De ton veston d'aristocrate
Tes rêves sont dessinés
On y voit des histoires tendres
Des amours inachevés
Le doux piège, il fallait le tendre
Il est fini le temps d'aimer
Dans l'oubliette des Juliette
Des Yseult à point nommé
Sur des balcons, dans des gloriettes
Je les entends chuchoter
Mais toujours tu fermes la porte
Tu leur dis "Belles, partez !"
Plus de clair de lune pour l'âme
Plus de fous et plus de chansons
Aujourd'hui, ta belle cravate
Et sur les boutons historiés
De ton veston d'aristocrate
Tes rêves sont dessinés
On y voit des histoires tendres
Des amours inachevés
Le doux piège, il fallait le tendre
Il est fini le temps d'aimer
Dans l'oubliette des Juliette
Des Yseult à point nommé
Sur des balcons, dans des gloriettes
Je les entends chuchoter
Mais toujours tu fermes la porte
Tu leur dis "Belles, partez !"
L'automne balaie la feuille morte
Violons, vous vous taisez
Désormais, c'est le mode mineur
Qui sera ma mode préférée
Avec des petits accroche-cœurs
Pour les dames esseulées
Si jamais tu ressuscites
Après trois cents ans de tombeau
Dans ce beau feu qui crépite
Je brûlerai ces quelques mots
Violons, vous vous taisez
Désormais, c'est le mode mineur
Qui sera ma mode préférée
Avec des petits accroche-cœurs
Pour les dames esseulées
Si jamais tu ressuscites
Après trois cents ans de tombeau
Dans ce beau feu qui crépite
Je brûlerai ces quelques mots
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