Paroles de la chanson Le Malabar de Zanzibar par Julos Beaucarné
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Paroles de la chanson Le Malabar de Zanzibar par Julos Beaucarné
Il jouait sur sa tac amine
Une chanson pour une gamine
Qui sentait bon le sable chaud
Comme un légionnaire du Congo
Elle chantait d'une voix voilée
Dans les bars où y' a de la fumée
Elle aimait bien les coquelicots
Et surtout les fleurs en pot
Elle vit entrer un malabar
Originaire de Zanzibar
En transit à Paris un soir
Cherchant à loger son cafard
Il entendit la voix voilée
Dans le bar où y'avait de la fumée
Il devint rouge comme un coquelicot
Une chanson pour une gamine
Qui sentait bon le sable chaud
Comme un légionnaire du Congo
Elle chantait d'une voix voilée
Dans les bars où y' a de la fumée
Elle aimait bien les coquelicots
Et surtout les fleurs en pot
Elle vit entrer un malabar
Originaire de Zanzibar
En transit à Paris un soir
Cherchant à loger son cafard
Il entendit la voix voilée
Dans le bar où y'avait de la fumée
Il devint rouge comme un coquelicot
Où se portent la fleur et le pot
La belle n'était pas disponible
Elle avait déjà un julot
Qu'avait comme affreuse manie
De taper sur tout ce qui bouge de trop
Il a crié d'une voix voilée
Dans le bar où y'avait de la fumée
Qu'il n'aimait pas les coquelicots
Puis surtout pas les fleurs en pot
Le malabar de Zanzibar
Contraint forcé à quitter le bar
Il s'est taillé dedans le noir
A tourné le coin du boulevard
Dans les oreilles la voix voilée
Dans les yeux le bar, la fille, la fumée
Il lui restait les coquelicots
La belle n'était pas disponible
Elle avait déjà un julot
Qu'avait comme affreuse manie
De taper sur tout ce qui bouge de trop
Il a crié d'une voix voilée
Dans le bar où y'avait de la fumée
Qu'il n'aimait pas les coquelicots
Puis surtout pas les fleurs en pot
Le malabar de Zanzibar
Contraint forcé à quitter le bar
Il s'est taillé dedans le noir
A tourné le coin du boulevard
Dans les oreilles la voix voilée
Dans les yeux le bar, la fille, la fumée
Il lui restait les coquelicots
Et surtout les fleurs en pot
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