Paroles de la chanson Feminin par Kalune
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Paroles de la chanson Feminin par Kalune
Comme une brise légère, comme une terre fertile
Une abeille qui butine et se pose sur ma main
Comme la mine d'un crayon qui dessine quelques lignes qui font du bien
Je suis féminin
Comme la nuit qui tremble, la buée sur les vitres
Comme la bouche qui veut parler mais qui se retient
Comme l'Histoire d'un vieux monde qui semble à la dérive je suis... je suis féminin
Comme la Lune qui jalouse les rondeurs de ton ventre
Comme la graine qui germe quand le printemps revient
Une abeille qui butine et se pose sur ma main
Comme la mine d'un crayon qui dessine quelques lignes qui font du bien
Je suis féminin
Comme la nuit qui tremble, la buée sur les vitres
Comme la bouche qui veut parler mais qui se retient
Comme l'Histoire d'un vieux monde qui semble à la dérive je suis... je suis féminin
Comme la Lune qui jalouse les rondeurs de ton ventre
Comme la graine qui germe quand le printemps revient
L'énergie qui nous pousse vers des causes à défendre
Comme une lumière au loin, je suis féminin
Comme la plume d'ange chantée par Nougaro
Une lettre sans adresse qui cherche son chemin
L'alchimie du mélange des silences et des mots
Comme une maladresse, je suis féminin
Comme la pluie qui s'allonge, dans ses effluves de rhum
La beauté de tes mensonges quand tu te livres aux hommes
Une poupée de coton qui réclame un câlin
À un soldat de plomb qui la traite de catin
Comme une dernière chance, une prise en otage
Pour une grande écuelle qui serait pleine de vin
Fumée blanche dans laquelle je revois ton visage
Comme une lumière au loin, je suis féminin
Comme la plume d'ange chantée par Nougaro
Une lettre sans adresse qui cherche son chemin
L'alchimie du mélange des silences et des mots
Comme une maladresse, je suis féminin
Comme la pluie qui s'allonge, dans ses effluves de rhum
La beauté de tes mensonges quand tu te livres aux hommes
Une poupée de coton qui réclame un câlin
À un soldat de plomb qui la traite de catin
Comme une dernière chance, une prise en otage
Pour une grande écuelle qui serait pleine de vin
Fumée blanche dans laquelle je revois ton visage
La vie est belle et comme elle, je suis féminin
Comme une goutte d'eau salée qui meurt au bord des lèvres
Comme une plume de poète qui pleure à chaque refrain
Voie Lactée qui chaque soir sous nos regards s'élève
Comme l'amour au pluriel, je suis féminin
Comme une parole forte et pourtant pleine de doutes
Ou comme une feuille morte, mais la plus belle de toutes
Comme la distance qui sépare mon regard de tes seins
C'est l'heure de ton départ, je suis plein de chagrin
Comme un statue piégée, figée en pleine étreinte
Comme une goutte d'eau salée qui meurt au bord des lèvres
Comme une plume de poète qui pleure à chaque refrain
Voie Lactée qui chaque soir sous nos regards s'élève
Comme l'amour au pluriel, je suis féminin
Comme une parole forte et pourtant pleine de doutes
Ou comme une feuille morte, mais la plus belle de toutes
Comme la distance qui sépare mon regard de tes seins
C'est l'heure de ton départ, je suis plein de chagrin
Comme un statue piégée, figée en pleine étreinte
Posée au fond d'une allée que personne n’empreinte
Ou comme ces fleurs qui s'ouvrent quand le soleil s'éteint
Et ta voix qui me souffle que je souffre pour rien
Comme les mémoires d'hier incrustées dans les murs
Les couleurs de toutes ces perles emmêlées à ta chevelure
Comme la patience de croire en de meilleurs lendemains
Ou l'envie d'autre part , je n'sais plus très bien
Comme la Terre fragile, douce et tremblante
À quoi pense la mère quand elle donne le sein ?
Les larmes d'une nature pourtant innocente
Ou comme ces fleurs qui s'ouvrent quand le soleil s'éteint
Et ta voix qui me souffle que je souffre pour rien
Comme les mémoires d'hier incrustées dans les murs
Les couleurs de toutes ces perles emmêlées à ta chevelure
Comme la patience de croire en de meilleurs lendemains
Ou l'envie d'autre part , je n'sais plus très bien
Comme la Terre fragile, douce et tremblante
À quoi pense la mère quand elle donne le sein ?
Les larmes d'une nature pourtant innocente
Comme la résistance, Je suis féminin
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