Paroles de la chanson Salvador par Karpatt
Auteurs: Frederic Rollat
Compositeurs: Frederic Rollat
Editeurs: Raoul Breton Editions
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Paroles de la chanson Salvador par Karpatt
Elle était de ces femmes qu'on regarde dans les yeux
Quand elle raconte sa route comme les règles d'un jeu
Elle était pas si vieille, elle avait sur le dos
Le poids de 1000 chagrins des femmes de SUSHITOTO
Elle était de ces mères qu'on regarde de dessous
Pas plus facile, pas plus fière, qu'on écoute et c'est tout
Elle était planquée là de ce côté de la frontière
Car elle a choisi de rester pour résister à sa manière
REF
Quand elle raconte sa route comme les règles d'un jeu
Elle était pas si vieille, elle avait sur le dos
Le poids de 1000 chagrins des femmes de SUSHITOTO
Elle était de ces mères qu'on regarde de dessous
Pas plus facile, pas plus fière, qu'on écoute et c'est tout
Elle était planquée là de ce côté de la frontière
Car elle a choisi de rester pour résister à sa manière
REF
Welcome to Salvador, petit pays que calor
Coincé entre le sud et le nord
Elle était de ces femmes à qui l'on a tout pris
Le sourire, les larmes, c'était dans une autre vie
Maintenant elle regroupe les femmes de son quartier
Une fois par semaine pour aller faire de la course à pied
Sur les routes où naguère elle promenait ses enfants
Maintenant c'est la guerre, les balles se perdent pourtant
C'est avec le courage de celles qui n'ont plus rien à perdre
Qu'elles courent fièrement dans les rues
Coincé entre le sud et le nord
Elle était de ces femmes à qui l'on a tout pris
Le sourire, les larmes, c'était dans une autre vie
Maintenant elle regroupe les femmes de son quartier
Une fois par semaine pour aller faire de la course à pied
Sur les routes où naguère elle promenait ses enfants
Maintenant c'est la guerre, les balles se perdent pourtant
C'est avec le courage de celles qui n'ont plus rien à perdre
Qu'elles courent fièrement dans les rues
REF
Welcome to Salvador, petit pays que calor
Coincé entre le sud et le nord
Elle était sentinelle avec ce petit oiseau
Aux couleurs du soleil qu'elle peint au pinceau
Sur la porte de chez elle pour dire à tous ces gens
J'ai souffert comme vous autres, mais je reste devant
Devant les imbéciles qui nous ont abimé
En nous volant les larmes qui leur étaient destinées
Car c'est dans la misère de notre pays qui pleure
Qu'à travers mon dessin je dis " Je n'ai pas peur "
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