Paroles de la chanson Valparaiso par Karpatt
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Paroles de la chanson Valparaiso par Karpatt
Chacune de tes rides que conserve ta bouche
Chacun de tes regards que garde tes paupières
Chacun de nos frissons triste et solitaire
Car chacun a son bout du monde on pense à l'autre qui n'est pas là
J'aime t'imaginer sur mon épaule quand tu veilles que tu descends
Valparaiso les rues éclatées de soleil
Sur ces collines on marche à son user les yeux
Sur ses rondeurs on peint le corps le cœur et l'âme cette baie grande ouverte
Ressemble aux jambes de ces femmes les Cap-Horniers
D'avant venaient s'abandonner un peu
Chacun de tes regards que garde tes paupières
Chacun de nos frissons triste et solitaire
Car chacun a son bout du monde on pense à l'autre qui n'est pas là
J'aime t'imaginer sur mon épaule quand tu veilles que tu descends
Valparaiso les rues éclatées de soleil
Sur ces collines on marche à son user les yeux
Sur ses rondeurs on peint le corps le cœur et l'âme cette baie grande ouverte
Ressemble aux jambes de ces femmes les Cap-Horniers
D'avant venaient s'abandonner un peu
Je vole vers une île où je sais que tu n'es pas
J'approche d'un bout de terre qui restera désert de toi
Je bois un verre de rhum le brun que tu préfères
On prend le plus désarticulé des funiculaires
On va voir la maison de Pablo Neruda
Son jardin suspendu pour poser nos sourires
Sur ces étoiles neuves le ciel en devenir
Car chacun a son bout du monde on pense à l'autre qui n'est pas là
On ira onduler sur la tôle ondulée qui fait les murs les toits
Les sols les plafonds les maisons récupéré
Sur les containers contenant vidés de leurs marchandises
J'approche d'un bout de terre qui restera désert de toi
Je bois un verre de rhum le brun que tu préfères
On prend le plus désarticulé des funiculaires
On va voir la maison de Pablo Neruda
Son jardin suspendu pour poser nos sourires
Sur ces étoiles neuves le ciel en devenir
Car chacun a son bout du monde on pense à l'autre qui n'est pas là
On ira onduler sur la tôle ondulée qui fait les murs les toits
Les sols les plafonds les maisons récupéré
Sur les containers contenant vidés de leurs marchandises
Découpés sur les quais avant que le jour ne vienne les faire s'effondrer
Au rouleau de lumière les couleurs soutenaient
Les unes aux autres ses façades banquise
Je vole vers une île où je sais que tu n'es pas
J'approche d'un bout de terre qui restera désert de toi
Il y a 21 cerros tu sais comme autant de dominos empilés
Et c'est presque équilibrés tant qu'tu marches ça l'fait
Mais si l'un d'eux vient à trembler ici la terre s’amuse
Elle laisse les hommes penser qu'ils restent libres de partir mais s'en aller
Au rouleau de lumière les couleurs soutenaient
Les unes aux autres ses façades banquise
Je vole vers une île où je sais que tu n'es pas
J'approche d'un bout de terre qui restera désert de toi
Il y a 21 cerros tu sais comme autant de dominos empilés
Et c'est presque équilibrés tant qu'tu marches ça l'fait
Mais si l'un d'eux vient à trembler ici la terre s’amuse
Elle laisse les hommes penser qu'ils restent libres de partir mais s'en aller
De Valparaiso la latine c'est elle qui sait
Caresser ou punir ici la ville s'amuse
Caresser ou punir ici la ville s'amuse
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