Paroles de la chanson Élément Terre par Keny Arkana
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Paroles de la chanson Élément Terre par Keny Arkana
C'est parce qu'on savait pas qu'on a accompli l'impossible
Laisse-moi parler aux miens
C'est c'que j'clame depuis l'époque de mon posse
Tout est d'plus en plus nocif, plus enfermés dans nos vices
Pour supporter l'poids de nos vies, aucun chemin nous était propice
Traversée des déserts, en direction d'une terre promise
J'écoutais les étoiles à l'heure où les frères s'alcoolisaient
Petite on m'a maudite, j'avais peur que de la police
Sûr qu'en pleine nature pour initier un cœur trop triste
Laisse-moi parler aux miens
C'est c'que j'clame depuis l'époque de mon posse
Tout est d'plus en plus nocif, plus enfermés dans nos vices
Pour supporter l'poids de nos vies, aucun chemin nous était propice
Traversée des déserts, en direction d'une terre promise
J'écoutais les étoiles à l'heure où les frères s'alcoolisaient
Petite on m'a maudite, j'avais peur que de la police
Sûr qu'en pleine nature pour initier un cœur trop triste
Une vie entière à l'improviste car j'improvise
Gênée quand les gens m'applaudissent
Rien d'un prodige, enfant prodigue je
Chante à notre hymne, le cœur serré l’œil humide
J'pleure un passé j'le rumine
Ma rune étoilée j'pleure une rime hantée
Où que j'aille, j'repère les axes, esquive les châtaignes
J'appartiens à personne, comme le saint nom j'ai aucune chapelle
Je ramène à la base, un peu comme ces foutues charters
J'ai le cœur qui voit large comme le courage et l'cœur de chaque mère
Enfant des étoiles, face aux soldats d'Babel
Le jour où notre esprit vaincra, ce n'sera pas grâce à la guerre
Gênée quand les gens m'applaudissent
Rien d'un prodige, enfant prodigue je
Chante à notre hymne, le cœur serré l’œil humide
J'pleure un passé j'le rumine
Ma rune étoilée j'pleure une rime hantée
Où que j'aille, j'repère les axes, esquive les châtaignes
J'appartiens à personne, comme le saint nom j'ai aucune chapelle
Je ramène à la base, un peu comme ces foutues charters
J'ai le cœur qui voit large comme le courage et l'cœur de chaque mère
Enfant des étoiles, face aux soldats d'Babel
Le jour où notre esprit vaincra, ce n'sera pas grâce à la guerre
Bâtisseuse dit des nouvelles
Propageuse de graines
Humblement j’œuvre dans l'ombre et dans l'inconscient collectif
J'suis ni une exemple ni une guide
Mais une humaine qui vibre
Lorsque tous nos cœurs s'illuminent
Réceptacle des forces cosmiques et telluriques
L'intuition est érudite
Oubliée de la République
Faut déjà qu'on s'élucide sur Terre
Oui l'inquisiteur traverse les temps
Et les régimes se succèdent
Humanité sur les dents, sa folie peut être inhumaine
Pas besoin qu'on énumère, partout les larmes sont diluviennes
Humanité
Propageuse de graines
Humblement j’œuvre dans l'ombre et dans l'inconscient collectif
J'suis ni une exemple ni une guide
Mais une humaine qui vibre
Lorsque tous nos cœurs s'illuminent
Réceptacle des forces cosmiques et telluriques
L'intuition est érudite
Oubliée de la République
Faut déjà qu'on s'élucide sur Terre
Oui l'inquisiteur traverse les temps
Et les régimes se succèdent
Humanité sur les dents, sa folie peut être inhumaine
Pas besoin qu'on énumère, partout les larmes sont diluviennes
Humanité
J'ai si mal quand j'pense à nous
J'peux pas chanter autre chose qu'un autre monde car issu d'un monde à genoux
Universelle
J'parle aux étoiles même en plein jour
Le temps coule sur les joues, les pages se tournent, respectent la terre wesh
Humanité aux milles traumas dans la cervelle
Divisé en son sein à force d'voir l'autre comme un adversaire
Bien trop d'sang versé
Destin commun sous l'même ciel
Des robots à forme humaine, est-ce la fin de notre espèce ?
J'peux pas chanter autre chose qu'un autre monde car issu d'un monde à genoux
Universelle
J'parle aux étoiles même en plein jour
Le temps coule sur les joues, les pages se tournent, respectent la terre wesh
Humanité aux milles traumas dans la cervelle
Divisé en son sein à force d'voir l'autre comme un adversaire
Bien trop d'sang versé
Destin commun sous l'même ciel
Des robots à forme humaine, est-ce la fin de notre espèce ?
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