Paroles de la chanson Ton île prison par Keren Ann
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Paroles de la chanson Ton île prison par Keren Ann
Peut-être que j'ai tort,
Que je suis aveugle, que je dors,
Que je n'ai jamais eu l'esprit fort,
Que je t'ai vraiment foutu dehors.
Peut-être... que je suis naïve,
Que je suis sur la défensive,
Que je viens d'une autre rive,
Que je dois partir à la dérive.
Quand je n'te suis pas à la lettre,
Tu m'accuses de ton mal-être.
Il n'y a personne pour s'entremettre.
Tu veux me voir disparaître.
Peut-être que je m'égare
Que je suis aveugle, que je dors,
Que je n'ai jamais eu l'esprit fort,
Que je t'ai vraiment foutu dehors.
Peut-être... que je suis naïve,
Que je suis sur la défensive,
Que je viens d'une autre rive,
Que je dois partir à la dérive.
Quand je n'te suis pas à la lettre,
Tu m'accuses de ton mal-être.
Il n'y a personne pour s'entremettre.
Tu veux me voir disparaître.
Peut-être que je m'égare
Du mauvais côté de l'histoire
Qu'il est temps de faire bande à part,
Que c'est foutu, qu'il est trop tard.
Vu de l'extérieur,
D'où le monde est voyeur,
Il n'y a ni grâce ni cœur
Ni horizon.
Vue de l'extérieur,
Sous mon soleil trompeur,
Personne, hélas, ne pleure
Ton île prison.
Peut-être que cette terre
Dont tu te sens propriétaire
Est vraiment extraordinaire
Car elle est tellement populaire.
Qu'il est temps de faire bande à part,
Que c'est foutu, qu'il est trop tard.
Vu de l'extérieur,
D'où le monde est voyeur,
Il n'y a ni grâce ni cœur
Ni horizon.
Vue de l'extérieur,
Sous mon soleil trompeur,
Personne, hélas, ne pleure
Ton île prison.
Peut-être que cette terre
Dont tu te sens propriétaire
Est vraiment extraordinaire
Car elle est tellement populaire.
Peut-être que j'y suis
Car, autrefois, on m'a tout pris
Et que c'est ici qu'on m'a promis
Que je serai toujours à l'abri.
Mais toi, tu veux ma peau,
Tu veux troubler mes idéaux,
Tu veux ton paradis là haut,
Lorsque tu brûles mon drapeau.
Peut-être que je t'entends,
Que je suis là, que je comprends,
Que je n'en peux plus d'y voir du sang
Qu'j'suis surpassée et impuissante.
Vu de l'extérieur,
D'où le monde est voyeur,
Il n'y a ni grâce ni cœur
Car, autrefois, on m'a tout pris
Et que c'est ici qu'on m'a promis
Que je serai toujours à l'abri.
Mais toi, tu veux ma peau,
Tu veux troubler mes idéaux,
Tu veux ton paradis là haut,
Lorsque tu brûles mon drapeau.
Peut-être que je t'entends,
Que je suis là, que je comprends,
Que je n'en peux plus d'y voir du sang
Qu'j'suis surpassée et impuissante.
Vu de l'extérieur,
D'où le monde est voyeur,
Il n'y a ni grâce ni cœur
Ni horizon.
Vue de l'extérieur,
Sous mon soleil trompeur,
Personne, hélas, ne pleure
Ton île prison.
Vu de l'extérieur,
D'où le monde est voyeur,
Il n'y a ni grâce ni cœur
Ni horizon.
Vue de l'extérieur,
Sous mon soleil trompeur,
Personne, hélas, ne pleure
Ton île prison.
Vue de l'extérieur,
Sous mon soleil trompeur,
Personne, hélas, ne pleure
Ton île prison.
Vu de l'extérieur,
D'où le monde est voyeur,
Il n'y a ni grâce ni cœur
Ni horizon.
Vue de l'extérieur,
Sous mon soleil trompeur,
Personne, hélas, ne pleure
Ton île prison.
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