Paroles de la chanson Mon combat par Kevin Chomat
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Paroles de la chanson Mon combat par Kevin Chomat
Dans mes veines coule une rivière de peine
Chaque jour ces souvenirs me ramènent
Dans une cour bondée pourtant déserte
Dépourvue d’amour tapissée de haine
Merveilleuse série pour voyeuristes
Où mon nom apparaît sur le générique
De ces crétins, de ces débiles
Bizutage et mauvais moments défilent
J’ai beau faire semblant et mentir, j’ai beau leur dire que c’est futile,
C’est comme si l’on me demandait, d’effacer l’encre indélébile
Quand l’aube frappait à ma fenêtre, la peur s’imprégnait de tout mon être
Je ne faisais qu’une seule prière, mourir demain, quitter la terre
Chaque jour ces souvenirs me ramènent
Dans une cour bondée pourtant déserte
Dépourvue d’amour tapissée de haine
Merveilleuse série pour voyeuristes
Où mon nom apparaît sur le générique
De ces crétins, de ces débiles
Bizutage et mauvais moments défilent
J’ai beau faire semblant et mentir, j’ai beau leur dire que c’est futile,
C’est comme si l’on me demandait, d’effacer l’encre indélébile
Quand l’aube frappait à ma fenêtre, la peur s’imprégnait de tout mon être
Je ne faisais qu’une seule prière, mourir demain, quitter la terre
Coups de pied, souffle au coeur, désemparé
Aucune épaule sur laquelle m’appuyer
Douleur au ventre, la pause est terminée
C’est l’heure de rejoindre la cour de récré
C’est là que mes yeux ferment les volets
Pour me laisser imaginer mes rêves
Mais quand leurs cris résonnent dans mes oreilles
C’est l’heure de l'insupportable réveille
J’ai beau faire semblant et mentir, j’ai beau leur dire que c’est futile,
C’est comme si l’on me demandait, d’effacer l’encre indélébile
Quand l’aube frappait à ma fenêtre, la peur s’imprégnait de tout mon être
Je ne faisais qu’une seule prière, mourir demain, quitter la terre
Aujourd’hui j’ai grandi et je souris, On vit avec mais jamais l’on oublie
Et j’espère que là-haut tu m’entendras, Que ces victimes gagneront leur combat
J’ai beau faire semblant et mentir, j’ai beau leur dire que c’est futile,
C’est comme si l’on me demandait, d’effacer l’encre indélébile
Quand l’aube frappait à ma fenêtre, la peur s’imprégnait de tout mon être
Je ne faisais qu’une seule prière, mourir demain, quitter la terre
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