Paroles de la chanson Freestyle Le Grand Urbain France Inter par Koba LaD

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Paroles de la chanson Freestyle Le Grand Urbain France Inter par Koba LaD

Je suis dans l’allée capuche et je revendais
Les disques des bats quand il y a les keufs je partais
Et j’entends ma Rolex me chuchoter
On court trop après le temps pour leur donner l’heure
Et j’ai décidé, oui je l’ai décidé
Dolce et Gabanna, Gucci taillé en deux
Première classe je suis à CDG
Et D tellement haut je l’ai décidé
Et t’as vu où j’ai grandi, sans mentir
C’est pas facile de s’en sortir
Il m’a fallu des couilles, grosse sa mère la pute
Et un mental bien solide
J’ai traversé toute la France
Moins trace sa mère
Les vrai moula dans le sac cinq litro
??? les fils de pute
Quand ça devient dur et bah change de camp
Et le neuf millimètre est devenu léger
Et comme d’hab je suis dans le bolide
Et regarde j’ai le chargeur tout plat
Je suis pas du genre à mettre des middle
Je suis dans le four cramé mais j’ai froid
Il va te refroidir c’est mon feu
Quand j’étais petit moi j’ai fait un vœu
Mais aujourd’hui je crois que c’est fait
Je suis frotté dans les res’ comme un paresseux
Récupérer l’argent qui sort de sa pussy
Je suis dans la finesse, dans l’ajustement
Et c’est dans sa bouche pour la finition
Et quand j’ai marqué bah je me tire
Et je te jure que j’ai pas changé sa mère
Je suis à la barrière je suis à mon sixième ter
Et je commence à le ressentir par derrière
Fils de pute on a plus douze ans
On te séquestre ta mère, il faut que tu payes ta mère
Et je connais des mecs qui ont déjà plus de cœur
Qui ont déjà tué sur la vie de ma mère
Je veux le compte rendu il y en a pas assez
Donc je vais prendre le game par le cul
À la base tout ça c’était pas pour nous
Mais bon, on refuse pas les cadeaux
Le disque d’or, le même en platine
Attendez, attendez c’est que le début
Faut pas lâcher, on va se les faire
Et quoiqu’il arrive il faut pas que tu doutes
Regarde, nous on a la peau sur les os
Sous bédo bah tout rouge deviennent nos yeux
Mais bon nique sa mère on le fait pour le blé
Il me faut cent millions pour que je sois comblé
Écoute-moi bien il faut que je t’explique un truc
Il y a trois piges personne croyait en moi
Aujourd’hui ces mêmes fils de pute
Ces fils de putes veulent me serrer la main
Je suis à deux pas de la tour Eiffel
Et je me fais ??? de bon matin
Trois cent euros la nuit dans la chambre d’hôtel
Comme j’y vais fort elle crie Koba attend
Il y a deux trois billets qui sont déchirés
Je vais acheter des élastiques un peu plus large
???
Nique sa grand-mère ton horloge
Elle descend, elle remonte, et quand c’est sec, elle recrache
Je la démonte, je mets ton dili
Et c’est à ses veu-che que je m’accroche
Je suis dans le re-fou cramé,
Où les descentes de kondé nous refroidissent
Je suis dans le re-fou cramé,
Où les descentes de kondé nous refroidissent
Je suis dans le re-fou cramé,
Où les descentes de kondé nous refroidissent
Je suis dans le re-fou cramé,
Où les descentes de kondé nous refroidissent

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