Paroles de la chanson Maman par Kybah Shade
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Paroles de la chanson Maman par Kybah Shade
Maman, c'est moi.
J'viens t'parler car j'ai mal de vivre.
J'ai peur
Parce que j'vis pas comme le monde, j'arrive pas à me mettre à l'heure
Et si l'horloge de mon cœur ne sonne plus, est ce que je suis mort?
Ou est-ce que je suis perdu, parce que je n'suis pas assez fort?
Maman j'ai beau tout donner, je m'sens toujours à côté d'la plaque
J'ai beau toujours essayer, j'ai l'âme déconnecté, en vrac.
Et quand je parle de moi, j'ai l'impression d'être un échec
J'ferais mieux d'donner fin à mes rêves, sans queue, ni tête
J'viens t'parler car j'ai mal de vivre.
J'ai peur
Parce que j'vis pas comme le monde, j'arrive pas à me mettre à l'heure
Et si l'horloge de mon cœur ne sonne plus, est ce que je suis mort?
Ou est-ce que je suis perdu, parce que je n'suis pas assez fort?
Maman j'ai beau tout donner, je m'sens toujours à côté d'la plaque
J'ai beau toujours essayer, j'ai l'âme déconnecté, en vrac.
Et quand je parle de moi, j'ai l'impression d'être un échec
J'ferais mieux d'donner fin à mes rêves, sans queue, ni tête
Dis-moi, tu f'rais quoi toi, si tu t'sentais pas à ta place?
Est-ce que tu f'rais semblant? Le temps qu'ça passe.
Dans tes bras j'avais pas mal de rire autant, mais demain je m'envole.
Dans tes yeux, j'étais normal, pas différent, mais demain je décolle.
Dans ton cœur, j'étais unique et ton enfant, mais le temps passe encore.
Dans tes mains, je pouvais savourer mon présent, je dois maintenant éclore.
Maman... Maman...
Maman tu vois j'grandis pas, j'suis condamné à rester bête
Maman tu vois malgré moi, j'ai l'impression d'ramasser les miettes
Et si je cours vers le noir, c'est peut-être qu'au fond, j'aime y être
Parce que c'est dans tes espoirs, que j'préfère écrire mes recettes
Maman, merci d'remonter mes bretelles quand j'fais n'importe quoi...
Changer les larmes en broutilles car la vie en vrai ce n'est pas ça.
Et si parfois tu me gronde car je n'veux rien, car je me plains.
C'est que comme toute les mamans, tu veux voir ton enfant, rire, enfin
Dis, maman, tu l'savais toi qu'on t'aimais à crever?
Que mon frère, ma sœur et moi, on te veux à jamais.
Et si je cours vers le noir, c'est peut-être qu'au fond, j'aime y être
Parce que c'est dans tes espoirs, que j'préfère écrire mes recettes
Maman, merci d'remonter mes bretelles quand j'fais n'importe quoi...
Changer les larmes en broutilles car la vie en vrai ce n'est pas ça.
Et si parfois tu me gronde car je n'veux rien, car je me plains.
C'est que comme toute les mamans, tu veux voir ton enfant, rire, enfin
Dis, maman, tu l'savais toi qu'on t'aimais à crever?
Que mon frère, ma sœur et moi, on te veux à jamais.
Dans tes bras, j'avais pas mal de rire autant, mais demain je m'envole.
Dans tes yeux, j'étais normal, pas différent, mais demain je décolle.
Dans ton cœur, j'étais unique et ton enfant, mais le temps passe encore.
Dans tes mains j'pouvais savourer mon présent, je dois maintenant éclore.
Maman...
Dans tes bras, j'avais pas mal de rire autant, mais demain je m'envole.
Dans tes yeux, j'étais normal, pas différent, mais demain je décolle.
Dans ton cœur, j'étais unique et ton enfant, mais le temps passe encore.
Dans tes mains j'pouvais savourer mon présent, je dois maintenant éclore.
Maman...
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