Paroles de la chanson Tais-toi par Kybah Shade
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Paroles de la chanson Tais-toi par Kybah Shade
Je pourrais venir chaque soir
Vernir tes draps de la passion
Venir et qu'importe s'il est tard
Jouer des corps à l'unisson
Je pourrais partager mes nuits
Si tes matins m'acceptent encore
Partager mes râles d'envie,
Si de mes bras tu te décores.
Je pourrais te donner la Terre,
Si j'en avais acquis les droits,
A vrai dire c'est toi qui m'enterre,
A chaque je t'aime passé sans toi.
Je pourrais cracher sur les autres
Vernir tes draps de la passion
Venir et qu'importe s'il est tard
Jouer des corps à l'unisson
Je pourrais partager mes nuits
Si tes matins m'acceptent encore
Partager mes râles d'envie,
Si de mes bras tu te décores.
Je pourrais te donner la Terre,
Si j'en avais acquis les droits,
A vrai dire c'est toi qui m'enterre,
A chaque je t'aime passé sans toi.
Je pourrais cracher sur les autres
Maudire ces chiennes qui avant nous,
Me prenaient pour celui qui aime,
Et me voulaient la corde au cou.
Je pourrais prier à ce Dieu,
Dont parle la télévision,
Mettre le monde à sang à feu,
Et faire de toi ma religion.
Je pourrais te donner le ciel,
Puisque la Terre ne suffit pas,
Celui qui te donne les ailes,
Que d'autres ont brûlés avant moi.
Mais il est vrai, qu'au fond,
Il ne me sert d'en faire autant,
Mais il est vrai, c'est con,
Que je dois vivre l'instant présent.
Me prenaient pour celui qui aime,
Et me voulaient la corde au cou.
Je pourrais prier à ce Dieu,
Dont parle la télévision,
Mettre le monde à sang à feu,
Et faire de toi ma religion.
Je pourrais te donner le ciel,
Puisque la Terre ne suffit pas,
Celui qui te donne les ailes,
Que d'autres ont brûlés avant moi.
Mais il est vrai, qu'au fond,
Il ne me sert d'en faire autant,
Mais il est vrai, c'est con,
Que je dois vivre l'instant présent.
Mais à qui la faute
Si mes rêves semblent se mouvoir
Toi qui exauce,
Mes voeux sans t'en apercevoir.
Mais à qui la faute,
Si moi de toi je me passionne,
Pas comme les autres,
T'avoir que pour moi j'en frissonne.
Tu pourrais battre un peu des cils
Frigide face à mes sentiments,
Sais-tu qu'à chaque fois que tu ris,
Mon coeur se brise en un instant.
Tu pourrais me rendre malheureux
A trop agir comme si de rien,
Mais dans ton regard amoureux,
Les mots n'en seraient que malsains.
Tu pourrais me croire démodé,
A dire vrai, tu aurais raison,
Poète sacrément ravagé,
Poète pouet pouet comme un camion.
Tu pourrais même me tuer,
Si d'un élan, tu prends le large,
Me laisser seul, abandonné,
Si pour un autre tu te barres.
Tu pourrais me prendre pour un fou,
Ou pour un con, je ne sais pas,
Qu'à mes yeux tu resterais tout,
Prêt à tenter n'importe quoi.
Tu pourrais me dire c'est fini,
Tu pourrais me croire démodé,
A dire vrai, tu aurais raison,
Poète sacrément ravagé,
Poète pouet pouet comme un camion.
Tu pourrais même me tuer,
Si d'un élan, tu prends le large,
Me laisser seul, abandonné,
Si pour un autre tu te barres.
Tu pourrais me prendre pour un fou,
Ou pour un con, je ne sais pas,
Qu'à mes yeux tu resterais tout,
Prêt à tenter n'importe quoi.
Tu pourrais me dire c'est fini,
Tu pourrais hurler à la fin,
Que moi je resterai ici,
Jamais je n'lacherai ta main.
Mais il est vrai, que toi,
Tu n'es pas de celles qui en parlent,
Mais il est vrai, que moi,
Je suis de ceux que tu rends barges.
Mais à qui la faute
Si mes rêves semblent se mouvoir
Toi qui exauce,
Mes voeux sans t'en apercevoir.
Mais à qui la faute,
Si moi de toi je me passionne,
Pas comme les autres,
T'avoir que pour moi j'en frissonne.
Que moi je resterai ici,
Jamais je n'lacherai ta main.
Mais il est vrai, que toi,
Tu n'es pas de celles qui en parlent,
Mais il est vrai, que moi,
Je suis de ceux que tu rends barges.
Mais à qui la faute
Si mes rêves semblent se mouvoir
Toi qui exauce,
Mes voeux sans t'en apercevoir.
Mais à qui la faute,
Si moi de toi je me passionne,
Pas comme les autres,
T'avoir que pour moi j'en frissonne.
Mais à qui la faute
Si de nous deux je suis la voix,
Toi qui propose,
Des caresses du bout de tes doigts.
Mais à qui la faute
Je n'entends rien, c'est bon, tais-toi.
Nous sommes nos autres,
Ceux qui sans yeux toujours se voient.
Si de nous deux je suis la voix,
Toi qui propose,
Des caresses du bout de tes doigts.
Mais à qui la faute
Je n'entends rien, c'est bon, tais-toi.
Nous sommes nos autres,
Ceux qui sans yeux toujours se voient.
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