Paroles de la chanson L'enfant De Marseille par L'Algérino
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Paroles de la chanson L'enfant De Marseille par L'Algérino
C’est ma vie, ces hauts et ces bas, ils parlent de moi mais ne me connaissent même pas
J’ai pleuré un beau jour, 9 heure du mat’ de mai 81 après mon frère, ma mère ne pouvais plus enfanter, grâce a dieu j’atterrit sur terre, mon premier cri poussé mes premières larmes versées a la maternité d’l’appel de mai une famille des plus modeste à la rue parmentiers on était 7 à vivre dans un pièce mon père travaillait 15 heur par jours et jle voyait que le soir le regard marqué par le ciment et la routine bref après 4ans passé dans se taudis forcé de déménage vu que la famille c’est agrandit 143 rue félix pia mon premier meilleur ami lors d’une éclat t’inquiète frère jamais je t’oubli j’étais le premier mec avec qui je volais après la classe d’ocas’ on dévalisait intermarché tablette de chocolat crunche blanko et marquer la fine équipe du parc petit débrouillards tageurs bagarreurs après le foot c’était la mosquée basket a 4 bancs troué on puait des pieds c’est comme sa que j’ai appris ma premiers sonate j’me rappel c’était comme hier avec mon petit frère Morat enfant de Marseille insouciant peur de rien malgré les roustes a 8 ans j’allais au stade vélodrome comme un grand la vie est rude dans les rue de ma ville (arabe) écoute le récit de ma vie
J’ai pleuré un beau jour, 9 heure du mat’ de mai 81 après mon frère, ma mère ne pouvais plus enfanter, grâce a dieu j’atterrit sur terre, mon premier cri poussé mes premières larmes versées a la maternité d’l’appel de mai une famille des plus modeste à la rue parmentiers on était 7 à vivre dans un pièce mon père travaillait 15 heur par jours et jle voyait que le soir le regard marqué par le ciment et la routine bref après 4ans passé dans se taudis forcé de déménage vu que la famille c’est agrandit 143 rue félix pia mon premier meilleur ami lors d’une éclat t’inquiète frère jamais je t’oubli j’étais le premier mec avec qui je volais après la classe d’ocas’ on dévalisait intermarché tablette de chocolat crunche blanko et marquer la fine équipe du parc petit débrouillards tageurs bagarreurs après le foot c’était la mosquée basket a 4 bancs troué on puait des pieds c’est comme sa que j’ai appris ma premiers sonate j’me rappel c’était comme hier avec mon petit frère Morat enfant de Marseille insouciant peur de rien malgré les roustes a 8 ans j’allais au stade vélodrome comme un grand la vie est rude dans les rue de ma ville (arabe) écoute le récit de ma vie
C’est ma vie, ces hauts et ces bas, ils parlent de moi mais ne me connaissent même pas
C’est ma vie, ces larmes et ces joie, ces rires ces pleures ces peines ces choix que je ne regrette pas
J’débarque a la savine en 1990 l’année ou ma mère a accouché du petit dernier l’équipe est au complet j’ai 4freres et 4 sœurs 2 grand frères 2 grandes sœurs 2 petits frères et deux petites sœurs au milieu de tout se beau monde un peu privilégié j’étais ni l’aîné ni le derniers
j’trainais avec Marco le Bagdad ce genre de pirate qui revenait au cartier avec un bonnet ou un kart du collège vallepin au lycée nord des amines des liens se tissent dès qu’on s’attache avec ivresse perturbateur au fond du cours élève agité mais bon toujours premier surtout quand il fallait casser les couilles famille nombreuse ou le grand frères était un exemple juste et ferme droit et dur imble et fier qualités hériter de mes parents émigrés j’les en remercie pour toutes les chose dont ils se sont privé au faite j’allais zappé mes origines algérien (arabe) c’est pour sa que j’ai la tête dur d’origine
C’est ma vie, ces hauts et ces bas, ils parlent de moi mais ne me connaissent même pas
C’est ma vie, ces larmes et ces joie, ces rires ces pleures ces peines ces choix que je ne regrette pas
Depuis petit j’suis un rêveur j’observe et je ne parle pas trop je passe mon temps a déliré quand j’m’enuie je réfléchit trop c’est la que sa se gatte tu te pose pleins de questions existentielle d’autant plus que la puberté s’en mêle à l’école ils disent que j’ai des facilités mais que j’suis pas sérieux que j’finirais par me gâcher grâce au foot j’ai eu des potes un peu partout à mars l’époque des tournois de foot qui réunissait les quartiers en masse (arabe) j’rêve d’avoir une carier comme l’enfant prodige dla castellan mais bon on est pas née sous la même étoile donc j’fais mon chemin et des petits textes apparaissent dans mes toiles à la sabine j’kiffais le rap mais rien de sérieux la morvèlle dans le nez j’prend le micro avec les plus vieux j’étais le seul arabes avec mes frères comorien Abdoul Karim zem marto et d’autre lacheriens le déclique en 9-6 avec le 4-5 j’fais ma première rencontre avec Alonso de psy4 9-8 j’prend mon micro et mon glaive la rage au micro t’inquiet frère sa sentait la relève
C’est ma vie, ces hauts et ces bas, ils parlent de moi mais ne me connaissent même pas
C’est ma vie, ces larmes et ces joies, ces rires ces pleurs ces peines ces choix que je ne regrette pas
Entre le foot et l’école le rap la déconne les mignonnes les défilés de mode a saint-férionne
Les survêt Lacoste la sape et la tchatche les jeux dansent le miaque on faisait péter dans le poste
Yeah c’est sa ma vie l’Algérino Marseille du Parc a la Savine dédicacée à toute ma famille dédicacée à tous mes amis ceux qui m’ont vu grandir
ceux qui m'ont cotoyé a l’époque au parc au centre ville à vallepin au lycée nord tous les frères de la Savine ceux qui me font des rappels
quand j’pars un peu en bip tous les frères de la Vilaine tous les frères de la Sabine tous les mecs avec qui j’ai rappé à l’ancienne le soutien que m’apporte mon cousin Ibrahim et la confiance que me font Nabil et Karim
l’Algérino le p'tit Smir la famille Marseille ma ville
l’Algérino le p'tit Smir la famille Marseille ma ville
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