Paroles de la chanson Partir par L'oiseau Noir
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Paroles de la chanson Partir par L'oiseau Noir
OK
OK, je préfère te laisser partir avant les haines et les tempêtes et préserver ton beau sourire, nos beaux souvenirs, ton sourire, qui me manque déjà, celui qui te définissait, quand tu te penchais, tu te penchais là, délicatement, voire même intimidée, comme pour me dire que tu savais, que tu savais déjà, ton sourire , tu sais, je m’en suis pas vraiment, non, pas vraiment remis, et plus tard, on en est là, je suis même parti, vers des ailleurs, mais c’est comme ça, tu veux pas souffrir, moi non plus, mais on va souffrir, et c’est plutôt beau de souffrir car on va se relever encore plus forts, alors on doit partir, je sais que tu sais, quand la mer est forte, elle se brise, quand le ciel s’éclaire, les étoiles filent, moi, J’ai besoin, d’être libre,
OK, je préfère te laisser partir avant les haines et les tempêtes et préserver ton beau sourire, nos beaux souvenirs, ton sourire, qui me manque déjà, celui qui te définissait, quand tu te penchais, tu te penchais là, délicatement, voire même intimidée, comme pour me dire que tu savais, que tu savais déjà, ton sourire , tu sais, je m’en suis pas vraiment, non, pas vraiment remis, et plus tard, on en est là, je suis même parti, vers des ailleurs, mais c’est comme ça, tu veux pas souffrir, moi non plus, mais on va souffrir, et c’est plutôt beau de souffrir car on va se relever encore plus forts, alors on doit partir, je sais que tu sais, quand la mer est forte, elle se brise, quand le ciel s’éclaire, les étoiles filent, moi, J’ai besoin, d’être libre,
Je préfère te laisser partir là où tu vas la brise est douce, la mer est calme et il ne fait jamais, non jamais froid, mais toi tu seras toujours, toujours là, là dans mon coeur comme une fleur qui ne fane pas, comme un rêve que l’on cherche pas, comme un homme qui n’a plus peur, plus peur de rien, plus peur du vide, et là, ce matin, je mate le paysage, par la fenêtre du train qui défile, je pense à toi, je pense à moi, moi qui me défile, je vois le reflet de ma sale gueule sur la vitre sous les tunnels et mes arcades, et crois moi je ne suis pas si fière, pas si fière de moi, et dans ma tête, un vrai bordel, un vrai vacarme mais il le fallait, fallait ma belle, je sais que tu sais, je sais que c’est pas, pas si facile,
Je me suis posé dans ce putain train sur un siège en sens inverse, je sais que t’aimais pas ça, être en sens inverse dans ces putains de trains qui nous emmenaient si loin, si loin là-bas, et ça, ça me fait sourire, j’écris cette lettre mais je ne sais même pas si tu la liras, je ne sais pas si j’aurais la force de la finir,
Je me suis posé dans ce putain train sur un siège en sens inverse, je sais que t’aimais pas ça, être en sens inverse dans ces putains de trains qui nous emmenaient si loin, si loin là-bas, et ça, ça me fait sourire, j’écris cette lettre mais je ne sais même pas si tu la liras, je ne sais pas si j’aurais la force de la finir,
Je préfère te laisser partir et préserver ton beau sourire, ne laissons pas l’éphémère devenir souvenir, je sais pas encore où tout ça nous emmènera, mais je sais que c’est le moment, le moment d’y aller, de le moment changer, le moment d’oser, de contempler, le moment de voir le monde avec un nouveau regard, de prendre,
Un nouveau départ,
Un nouveau départ,
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