Paroles de la chanson Nulle Part par L'Or Du Commun
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Paroles de la chanson Nulle Part par L'Or Du Commun
[Primero]
Roule, doucement le long des côtes, le vent remue les valises
Tel un mouvement de vagues au bas des falaises
Tourne, guidé par les impulsions de mon épaule
Les galets chassent les graviers comme d'un coup de balai
Un aspect vaste, presque figé
On pourrait se croire à Las Vegas un lendemain de festivités
L'époque n'est pas la même, la ville gagne du terrain
Au moins là je vois la mer ailleurs que sur le grain d'une publicité
Tout est plus silencieux, les rochers trônent
Et si tu observe bien des voiles blanches se dessinent entre eux
Roule, doucement le long des côtes, le vent remue les valises
Tel un mouvement de vagues au bas des falaises
Tourne, guidé par les impulsions de mon épaule
Les galets chassent les graviers comme d'un coup de balai
Un aspect vaste, presque figé
On pourrait se croire à Las Vegas un lendemain de festivités
L'époque n'est pas la même, la ville gagne du terrain
Au moins là je vois la mer ailleurs que sur le grain d'une publicité
Tout est plus silencieux, les rochers trônent
Et si tu observe bien des voiles blanches se dessinent entre eux
Et pas le choix, je prend l'instant par le bras
Le chant des sirènes à de quoi rendre les hommes
Les moins dociles envieux
Lieu, où l'on est comme stoppé dans le temps
Mes pensées plongent mieux que Jean Reno dans Le Grand Bleu
Et si les mystères restent dans le fond
En surface, je pourrais presque les déceler sans yeux
[Fele Flingue]
Je me détend, bercé par le chant des mésanges
Je réalise la chance que j'ai...
Je me détend, bercé par le chant des mésanges
Je réalise la chance que j'ai...
[Loxley]
Le chant des sirènes à de quoi rendre les hommes
Les moins dociles envieux
Lieu, où l'on est comme stoppé dans le temps
Mes pensées plongent mieux que Jean Reno dans Le Grand Bleu
Et si les mystères restent dans le fond
En surface, je pourrais presque les déceler sans yeux
[Fele Flingue]
Je me détend, bercé par le chant des mésanges
Je réalise la chance que j'ai...
Je me détend, bercé par le chant des mésanges
Je réalise la chance que j'ai...
[Loxley]
Serai-je ivre si je bois ton eau ?
J'atteins l'âge de vivre au présent
De froisser ta peau ce désir est oppressant
Dolores, le givre est tombé sur ma cité mauve
Mais si j'ai froid, tes jambes me serviront de bois de chauffe
Je voudrais mourir sur ton bas-ventre, cette vie n'est pas la mienne
Ton rouge à lèvre donne à ce rêve un goût de vacances
L'air du matin se lève, doucement, poussant la chance par la fenêtre
J'ai brisé mon reflet d'un coup de phalanges
Je viendrai boire à ta source, j'ai pris de l'avance
A l'heure où je pensais couler dans un puis de saveur
J'écoute le cri des amants étouffés du bruit des vagues
J'atteins l'âge de vivre au présent
De froisser ta peau ce désir est oppressant
Dolores, le givre est tombé sur ma cité mauve
Mais si j'ai froid, tes jambes me serviront de bois de chauffe
Je voudrais mourir sur ton bas-ventre, cette vie n'est pas la mienne
Ton rouge à lèvre donne à ce rêve un goût de vacances
L'air du matin se lève, doucement, poussant la chance par la fenêtre
J'ai brisé mon reflet d'un coup de phalanges
Je viendrai boire à ta source, j'ai pris de l'avance
A l'heure où je pensais couler dans un puis de saveur
J'écoute le cri des amants étouffés du bruit des vagues
Et vis ma vie d'errance, ayant goûté le fruit du labeur
[Swing & Loxley]
Nulle part, là bas, loin des villes, au large
Sur les bords de mer, la plage
Nulle part, là bas, loin des villes, au large
Sur les bords de mer, la plage
Nulle part, là bas, loin des villes, au large
Sur les bords de mer, la plage
Nulle part, là bas, loin des villes, au large
Sur les bords de mer, la plage
[Romeo Elvis]
Avec la musique dans les tympans
Je me retrouve en osmose, dans le cosmos
En orbite, les autres m'ont dit que j'avais besoin d'espace
[Swing & Loxley]
Nulle part, là bas, loin des villes, au large
Sur les bords de mer, la plage
Nulle part, là bas, loin des villes, au large
Sur les bords de mer, la plage
Nulle part, là bas, loin des villes, au large
Sur les bords de mer, la plage
Nulle part, là bas, loin des villes, au large
Sur les bords de mer, la plage
[Romeo Elvis]
Avec la musique dans les tympans
Je me retrouve en osmose, dans le cosmos
En orbite, les autres m'ont dit que j'avais besoin d'espace
Ma mère m'a dit que j'avais besoin d'autre chose
Les OG disent des conneries mais j'écoute plus les messes-basses
Laisse place, l'univers s'éclipse quand j'allume la lumière
De ma lampe de chevet, je continue mon aventure
En esquivant les planètes les plus fantastiques
Autant d'étoiles dans le ciel que d'espèces néfastes
Perdu dans le néant... Perdu dans le néant, les astres décollent
Un vaste plaine étoilée dresse le décors, j'atterris sans douceur
Dans une combi, tout seul sur une planète méconnue
Et perdu dans le néant, je flotte, la force de l’apesanteur me porte
Comme une sorte de gros ballon, emporté dans les méandres
Les OG disent des conneries mais j'écoute plus les messes-basses
Laisse place, l'univers s'éclipse quand j'allume la lumière
De ma lampe de chevet, je continue mon aventure
En esquivant les planètes les plus fantastiques
Autant d'étoiles dans le ciel que d'espèces néfastes
Perdu dans le néant... Perdu dans le néant, les astres décollent
Un vaste plaine étoilée dresse le décors, j'atterris sans douceur
Dans une combi, tout seul sur une planète méconnue
Et perdu dans le néant, je flotte, la force de l’apesanteur me porte
Comme une sorte de gros ballon, emporté dans les méandres
Je deviens le grand garçon
Que maman voulait voir avancer dans la vie
[Fele Flingue]
Je me détend, bercé par le chant des mésanges
Je réalise la chance que j'ai...
Je me détend, bercé par le chant des mésanges
Je réalise la chance que j'ai...
Que maman voulait voir avancer dans la vie
[Fele Flingue]
Je me détend, bercé par le chant des mésanges
Je réalise la chance que j'ai...
Je me détend, bercé par le chant des mésanges
Je réalise la chance que j'ai...
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